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L'UMTS accélère. L'opérateur Vodafone Italy et l'équipementier Nokia viennent d'annoncer la réussite d'un test de la technologie HSDPA (High Speed Downlink Packet Access) sur un réseau cellulaire WCDMA / 3G commercial UTRAN (UMTS Terrestrial Radio Access Network).
Jusqu'à présent, le réseau cellulaire de Vodafone permettait un débit de 384 kb/s en download mais le test a permis de quadrupler les débits pour atteindre 1,5 Mb/s, proche de la limite théorique des 2 Mb/s. Pour rappel, le haut débit mobile permet aujourd'hui en France d'atteindre des débits de l'ordre de 200 kb/s pour le Edge contre environ 384 kb/s pour l'UMTS. Pour sa part, la vieillissante connectique GPRS permet d'atteindre des débits d'environ 40 kb/s.
Tout comme le GPRS puis le EDGE ont permis d'accélérer les débits de la 2G, le HSDPA devrait également permettre d'accélérer très prochainement la 3G. En France, les tests devraient débuter au second semestre 2005 et les premiers réseaux HSDPA tricolores pourraient ouvrir dès l'année 2006 chez les trois opérateurs.
Enfin, parallèlement au développement des infrastructures 3G encore peu répandues, il est à noter que l'opérateur Bouygues Télécom analyse également l'avenir d'une nouvelle technologie sur les réseaux de deuxième génération déjà déployés avec l'arrivée du GERAN qui devrait permettre d'atteindre des débits de 400 kb/s, c'est à dire des débits supérieurs aux actuels connexions UMTS de première génération.
Au final, avec l'arrivée de nouveaux terminaux mobiles compatibles avec ces connectiques réseau, il est fort à parier que les grands gagnants de cette course à la vitesse sur des appareils mobiles devraient être les équipementiers d'une part et les opérateurs cellulaires d'autre part qui pourront désormais facturer à leurs utilisateurs des services du bas débit (GPRS) au haut débit (UMTS, HSDPA) en passant par le moyen débit (EDGE).
Jusqu'à présent, le réseau cellulaire de Vodafone permettait un débit de 384 kb/s en download mais le test a permis de quadrupler les débits pour atteindre 1,5 Mb/s, proche de la limite théorique des 2 Mb/s. Pour rappel, le haut débit mobile permet aujourd'hui en France d'atteindre des débits de l'ordre de 200 kb/s pour le Edge contre environ 384 kb/s pour l'UMTS. Pour sa part, la vieillissante connectique GPRS permet d'atteindre des débits d'environ 40 kb/s.
Tout comme le GPRS puis le EDGE ont permis d'accélérer les débits de la 2G, le HSDPA devrait également permettre d'accélérer très prochainement la 3G. En France, les tests devraient débuter au second semestre 2005 et les premiers réseaux HSDPA tricolores pourraient ouvrir dès l'année 2006 chez les trois opérateurs.
Enfin, parallèlement au développement des infrastructures 3G encore peu répandues, il est à noter que l'opérateur Bouygues Télécom analyse également l'avenir d'une nouvelle technologie sur les réseaux de deuxième génération déjà déployés avec l'arrivée du GERAN qui devrait permettre d'atteindre des débits de 400 kb/s, c'est à dire des débits supérieurs aux actuels connexions UMTS de première génération.
Au final, avec l'arrivée de nouveaux terminaux mobiles compatibles avec ces connectiques réseau, il est fort à parier que les grands gagnants de cette course à la vitesse sur des appareils mobiles devraient être les équipementiers d'une part et les opérateurs cellulaires d'autre part qui pourront désormais facturer à leurs utilisateurs des services du bas débit (GPRS) au haut débit (UMTS, HSDPA) en passant par le moyen débit (EDGE).
