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Les efforts du premier opérateur mobile japonais pour rendre l'Internet mobile de nouvelle génération plus attractif, semblent enfin porter leurs fruits.
Le service de téléphonie mobile de troisième génération (3G) de NTT DoCoMo aurait enregistré 37 000 nouveaux abonnés au mois de février.
DoCoMo revient de loin !
Son service 3G ("FOMA") basé sur la norme Wideband CDMA, supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s. Or, l'Internet mobile de nouvelle génération proposé par DoCoMo a du mal à obtenir les faveurs du grand public japonais depuis son lancement en octobre 2001.
Un an après ce lancement, la filiale mobile de NTT comptait 140 000 abonnés FOMA au total, soit moins d'un dixième de la clientèle 3G de son concurrent KDDI, qui pourtant avait lancé son service six mois après celui de DoCoMo !
Pour relancer la machine, l'opérateur participe depuis janvier dernier au financement des combinés de troisième génération afin que leurs tarifs, jusque-là trop élevés pour les clients finaux, baissent.
DoCoMo négocie également avec ses fournisseurs (NEC, Fujitsu, Matsushita Electric Industrial, Toshiba) pour améliorer le rendement des Batteries et augmenter l'autonomie des terminaux 3G.
Aujourd'hui, l'autonomie des combinés 3G proposés à ses abonnés varie de 170 à 180 heures entre deux recharges, contre 55 à 125 heures auparavant.
Enfin, DoCoMo travaille à l'élargissement de la zone de couverture de son réseau de troisième génération, longtemps limité à Tokyo, Osaka et Nagoya.
L'opérateur voudrait obtenir le même succès qu'avec son 'i-mode', norme propriétaire de seconde génération, qui compte plus de 35 millions d'abonnés au Japon à l'heure actuelle.
Au total, "Foma" compte un peu moins de 200 000 abonnés à l'heure actuelle. Dans ces conditions, NTT DoCoMo pourra-t-il atteindre la barre des 320 000 abonnés 3G à la fin du mois de mars 2003, comme il le souhaitait dernièrement - alors que ses prévisions initiales tablaient sur 1,38 million de clients - ?
Le service de téléphonie mobile de troisième génération (3G) de NTT DoCoMo aurait enregistré 37 000 nouveaux abonnés au mois de février.
DoCoMo revient de loin !
Son service 3G ("FOMA") basé sur la norme Wideband CDMA, supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s. Or, l'Internet mobile de nouvelle génération proposé par DoCoMo a du mal à obtenir les faveurs du grand public japonais depuis son lancement en octobre 2001.
Un an après ce lancement, la filiale mobile de NTT comptait 140 000 abonnés FOMA au total, soit moins d'un dixième de la clientèle 3G de son concurrent KDDI, qui pourtant avait lancé son service six mois après celui de DoCoMo !
Pour relancer la machine, l'opérateur participe depuis janvier dernier au financement des combinés de troisième génération afin que leurs tarifs, jusque-là trop élevés pour les clients finaux, baissent.
DoCoMo négocie également avec ses fournisseurs (NEC, Fujitsu, Matsushita Electric Industrial, Toshiba) pour améliorer le rendement des Batteries et augmenter l'autonomie des terminaux 3G.
Aujourd'hui, l'autonomie des combinés 3G proposés à ses abonnés varie de 170 à 180 heures entre deux recharges, contre 55 à 125 heures auparavant.
Enfin, DoCoMo travaille à l'élargissement de la zone de couverture de son réseau de troisième génération, longtemps limité à Tokyo, Osaka et Nagoya.
L'opérateur voudrait obtenir le même succès qu'avec son 'i-mode', norme propriétaire de seconde génération, qui compte plus de 35 millions d'abonnés au Japon à l'heure actuelle.
Au total, "Foma" compte un peu moins de 200 000 abonnés à l'heure actuelle. Dans ces conditions, NTT DoCoMo pourra-t-il atteindre la barre des 320 000 abonnés 3G à la fin du mois de mars 2003, comme il le souhaitait dernièrement - alors que ses prévisions initiales tablaient sur 1,38 million de clients - ?
