Canal+ vient d'annoncer la disponibilité de son service de SVOD CanalPlay Infinity sur l'Apple TV.
Les possesseurs américains d'Apple TV avaient Netflix, les français auront désormais CanalPlay Infinity, présenté comme son équivalent en dépit d'une réglementation moins avantageuse.
Canal+ a conclu un partenariat avec Apple pour que son application apparaisse sur toutes les Apple TV de France, aux côtés de services gratuits (tels que YouTube et Vimeo), et que les utilisateurs puissent souscrire facilement depuis l'appareil, au travers de la plateforme iTunes.
CanalPlay Infinity est quoi qu'il en soit le premier service de SVOD français accessible depuis l'Apple TV, en complément du service de VOD de l'iTunes Store. L'histoire ne dit pas si Apple touche une commission sur les souscriptions, et si oui dans quelles proportions, mais l'américain aurait eu tort de se priver puisque les deux services sont complémentaires, et non concurrents. En raison de la chronologie des médias française, Apple propose effectivement essentiellement des nouveautés à l'acte, Canal+ des classiques et films de plus de 3 ans sur abonnement, pour 10 euros/mois.
L'Apple TV présente l'intérêt de permettre d'accéder à CanalPlay Infinity sur un deuxième téléviseur à moindres frais. Jusqu'à présent le service était principalement accessible depuis les box des FAI (Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR), généralement installées dans le salon. Pour y accéder depuis une chambre par exemple, il fallait donc louer un second décodeur pour 3 à 5 euros/mois ou acquérir une Xbox 360, plus chère et plus encombrante. L'Apple TV est quant à elle vendue 110 euros.
Notons enfin que l'arrivée de CanalPlay Infinity sur Apple TV suit de près le lancement de La Box de Videofutur, qui répond sensiblement aux mêmes besoins.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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