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A quelques jours de son introduction en bourse, Neuf devrait afficher une capitalisation boursière supérieure à celle d'Iliad..
La consolidation n'est pas tout à fait terminée dans le paysage télécom français. a annoncé mercredi soir qu'il ferait son entrée en bourse le 25 octobre prochain avec un objectifs de cours entre 19 euros et 22,08 euros, ce qui devrait valoriser le groupe entre 4,1 et 4,45 milliards d'euros soit largement plus que Iliad, maison mère de Free, dont la capitalisation atteint 3,3 milliards d'euros.
Au coude à coude avec Free sur le marché grand public avec environ 2 millions d'abonnés ADSL, Neuf est également présent sur le marché des entreprises et dispose d'une solide infrastructure en fibres optiques, ce qui lui permet de revendiquer le statut de deuxième opérateur fixe en France, derrière le leader historique .
Selon un article paru jeudi dans les Echos, de nombreux analystes anticipent en outre une fusion avec SFR, deuxième opérateur cellulaire français, qui détient déjà 40.66% de son capital, afin de constituer le deuxième opérateur "intégré", à nouveau derrière France Telecom / Orange.
Derrière ces deux mastodonts, dont les ambitions ne se limiteront d'ailleurs sans doute pas au seul marché français, le paysage français des télécoms compte également Bouygues Telecom (100% mobile), Iliad (100% fixe) sans oublier les filiales françaises de Deutsche Telekom (Club-Internet) et Telecom Italia (Alice), toutes deux limitées aux infrastructures fixes. Bien que les principaux intéressés s'en défendent, la constitution d'un troisième opérateur "intégré" en France est également envisageable. Reste juste à savoir qui sera la proie et qui sera le prédateur.
La consolidation n'est pas tout à fait terminée dans le paysage télécom français. a annoncé mercredi soir qu'il ferait son entrée en bourse le 25 octobre prochain avec un objectifs de cours entre 19 euros et 22,08 euros, ce qui devrait valoriser le groupe entre 4,1 et 4,45 milliards d'euros soit largement plus que Iliad, maison mère de Free, dont la capitalisation atteint 3,3 milliards d'euros.
Au coude à coude avec Free sur le marché grand public avec environ 2 millions d'abonnés ADSL, Neuf est également présent sur le marché des entreprises et dispose d'une solide infrastructure en fibres optiques, ce qui lui permet de revendiquer le statut de deuxième opérateur fixe en France, derrière le leader historique .
Selon un article paru jeudi dans les Echos, de nombreux analystes anticipent en outre une fusion avec SFR, deuxième opérateur cellulaire français, qui détient déjà 40.66% de son capital, afin de constituer le deuxième opérateur "intégré", à nouveau derrière France Telecom / Orange.
Derrière ces deux mastodonts, dont les ambitions ne se limiteront d'ailleurs sans doute pas au seul marché français, le paysage français des télécoms compte également Bouygues Telecom (100% mobile), Iliad (100% fixe) sans oublier les filiales françaises de Deutsche Telekom (Club-Internet) et Telecom Italia (Alice), toutes deux limitées aux infrastructures fixes. Bien que les principaux intéressés s'en défendent, la constitution d'un troisième opérateur "intégré" en France est également envisageable. Reste juste à savoir qui sera la proie et qui sera le prédateur.
