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Google a accepté de fournir au Brésil des informations sur les utilisateurs du réseau Orkut.com soupçonnés de diffuser des contenus xénophobes.
Finalement, Google fournira aux autorités brésiliennes des données relatives aux utilisateurs d'Orkut.com suspectés de diffusion de contenus incitant à la haine raciale.
Contrairement aux Etats-Unis qui, dans le cadre de leur politique de protection de l'enfance, cherchent à obtenir des données précises sur les recherches effectuées par les utilisateurs du moteur, le Brésil ne demande pas des millions de pages web.
Juriste chez Google, Nicole Wong a indiqué samedi 2 septembre 2006, dans les colonnes du Washington Post, que la justice brésilienne entend obtenir "des informations relativement restreintes."
Depuis 2004, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net administre Orkut, site web communautaire accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe.
Le réseau social qui, à l'heure actuelle, compte plus de 20 millions d'utilisateurs au Brésil, est suspecté d'héberger, via ses forums de discussions, des contenus xénophobes et pédopornographiques.
Dès janvier 2005, Orkut.com a fait l'objet d'une enquête ouverte à la demande d'un procureur de Sao Paulo. Le 22 août dernier, celui-ci a déposé plainte afin de contraindre Google Brésil à fournir des données concernant les suspects.
Dans un premier temps, Google Brésil a refusé arguant que "les informations sur les membres d'Orkut sont hébergées aux Etats-Unis, sur les serveurs de Google Inc."
Plutôt que de risquer le blocage de son activité brésilienne sur décision de justice, la firme Internet de Mountain View, Californie, a révisé son approche. Le 1er septembre, celle-ci s'est déclarée prête à répondre positivement à la demande du Brésil.
Les autorités brésiliennes entendent obtenir adresses IP et heures de connexions des suspects.
Finalement, Google fournira aux autorités brésiliennes des données relatives aux utilisateurs d'Orkut.com suspectés de diffusion de contenus incitant à la haine raciale.
Contrairement aux Etats-Unis qui, dans le cadre de leur politique de protection de l'enfance, cherchent à obtenir des données précises sur les recherches effectuées par les utilisateurs du moteur, le Brésil ne demande pas des millions de pages web.
Juriste chez Google, Nicole Wong a indiqué samedi 2 septembre 2006, dans les colonnes du Washington Post, que la justice brésilienne entend obtenir "des informations relativement restreintes."
Depuis 2004, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net administre Orkut, site web communautaire accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe.
Le réseau social qui, à l'heure actuelle, compte plus de 20 millions d'utilisateurs au Brésil, est suspecté d'héberger, via ses forums de discussions, des contenus xénophobes et pédopornographiques.
Dès janvier 2005, Orkut.com a fait l'objet d'une enquête ouverte à la demande d'un procureur de Sao Paulo. Le 22 août dernier, celui-ci a déposé plainte afin de contraindre Google Brésil à fournir des données concernant les suspects.
Dans un premier temps, Google Brésil a refusé arguant que "les informations sur les membres d'Orkut sont hébergées aux Etats-Unis, sur les serveurs de Google Inc."
Plutôt que de risquer le blocage de son activité brésilienne sur décision de justice, la firme Internet de Mountain View, Californie, a révisé son approche. Le 1er septembre, celle-ci s'est déclarée prête à répondre positivement à la demande du Brésil.
Les autorités brésiliennes entendent obtenir adresses IP et heures de connexions des suspects.
