0
A l'heure où l'organisation américaine dépose de nouvelles plaintes contre des individus accusés de piratage, une internaute tente de faire entendre sa voix.
La Recording Industry Association of America (riaa.com) fait face à la 'contre-attaque' d'une mère de famille américaine. Tentative désespérée ?
Rappelons qu'en septembre 2003, la RIAA, organisation américaine du disque, a lancé son offensive contre ceux qui diffusent et téléchargent sans autorisation de la musique sous copyright par le biais des réseaux d'échange peer-to-peer (eDonkey, Grokster, Kazaa, Limewire, etc.) Parmi ces internautes : Tanya Andersen.
Lassée par les méthodes répressives de la RIAA, Madame Andersen a porté plainte contre l'organisation chargée de défendre les intérêts des labels et des majors du disque (EMI, Sony BMG, Universal Music, Warner).
Mère de famille âgée d'une quarantaine d'années, Tanya Andersen accuse l'organisation de bafouer la législation de l'Oregon (RICO Act) mais également de "fraude informatique, de non respect de la vie privée et de pratiques abusives".
Madame Andersen souhaiterait obtenir l'ouverture d'un procès avec jury. Elle n'est pas la première à tenter ce pari (http://recordingindustryvspeople.blogspot.com/).
Quant à la RIAA, elle a poursuivi aux Etats-Unis plus de 12.000 particuliers ces deux dernières années. Certains cas ont été réglés à "l'amiable", d'autres non.
Dans tout les cas, il s'agit pour la RIAA de faire respecter les droits d'auteur conformément au Digital Millennium Copyright Act. Pour mener à bien cette bataille, l'organisation identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X".
Dévoilée le 29 septembre 2005, une énième vague de plaintes déposées par la RIAA concerne 757 individus dont des étudiants, "pirates" de l'Internet2, répartis sur 17 campus universitaires américains. Au suivant ?
La Recording Industry Association of America (riaa.com) fait face à la 'contre-attaque' d'une mère de famille américaine. Tentative désespérée ?
Rappelons qu'en septembre 2003, la RIAA, organisation américaine du disque, a lancé son offensive contre ceux qui diffusent et téléchargent sans autorisation de la musique sous copyright par le biais des réseaux d'échange peer-to-peer (eDonkey, Grokster, Kazaa, Limewire, etc.) Parmi ces internautes : Tanya Andersen.
Lassée par les méthodes répressives de la RIAA, Madame Andersen a porté plainte contre l'organisation chargée de défendre les intérêts des labels et des majors du disque (EMI, Sony BMG, Universal Music, Warner).
Mère de famille âgée d'une quarantaine d'années, Tanya Andersen accuse l'organisation de bafouer la législation de l'Oregon (RICO Act) mais également de "fraude informatique, de non respect de la vie privée et de pratiques abusives".
Madame Andersen souhaiterait obtenir l'ouverture d'un procès avec jury. Elle n'est pas la première à tenter ce pari (http://recordingindustryvspeople.blogspot.com/).
Quant à la RIAA, elle a poursuivi aux Etats-Unis plus de 12.000 particuliers ces deux dernières années. Certains cas ont été réglés à "l'amiable", d'autres non.
Dans tout les cas, il s'agit pour la RIAA de faire respecter les droits d'auteur conformément au Digital Millennium Copyright Act. Pour mener à bien cette bataille, l'organisation identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X".
Dévoilée le 29 septembre 2005, une énième vague de plaintes déposées par la RIAA concerne 757 individus dont des étudiants, "pirates" de l'Internet2, répartis sur 17 campus universitaires américains. Au suivant ?
