0
Après SFR, la filiale mobile de France Télécom "conteste fermement l'existence d'une entente entre opérateurs mobiles", entente évoquée par le Canard.
Suite à la publication de l'article du Canard Enchaîné "le rapport qui accuse de s'être partagé le fromage", le groupe France Télécom monte au créneau.
Tout comme SFR*, France Télécom, maison mère d'Orange, "conteste fermement l'existence d'une entente" entre les trois opérateurs français de réseaux mobiles.
Mercredi 24 août 2005, le Canard a dévoilé un texte émanant de la DGCCRF faisant état d'un "accord occulte sur une longue période" entre Orange, SFR et Bouygues Telecom. Le Conseil de la concurrence enquête.
La procédure en cours étant "couverte par le secret de l'instruction", la filiale mobile du groupe France Télécom a choisi de "réserver ses arguments " au Conseil de la concurrence.
Toutefois, l'ancien monopole public précise que les arguments d'Orange "se fondent sur des éléments juridiques précis et de nombreuses analyses qui contredisent la thèse d'un pilotage du marché des mobiles et d'un gel des parts de marché."
Selon Orange, 1er opérateur mobile du pays, la notion "de 'pilotage' d'un marché de 45 millions de clients s'approvisionnant auprès de 20.000 points de vente est totalement irréaliste."
Autrement dit, le Canard a mis la lumière un dossier sensible, dossier que les opérateurs auraient préféré maintenir dans l'ombre. Mauvaise publicité.
Suite à la publication de l'article du Canard Enchaîné "le rapport qui accuse de s'être partagé le fromage", le groupe France Télécom monte au créneau.
Tout comme SFR*, France Télécom, maison mère d'Orange, "conteste fermement l'existence d'une entente" entre les trois opérateurs français de réseaux mobiles.
Mercredi 24 août 2005, le Canard a dévoilé un texte émanant de la DGCCRF faisant état d'un "accord occulte sur une longue période" entre Orange, SFR et Bouygues Telecom. Le Conseil de la concurrence enquête.
La procédure en cours étant "couverte par le secret de l'instruction", la filiale mobile du groupe France Télécom a choisi de "réserver ses arguments " au Conseil de la concurrence.
Toutefois, l'ancien monopole public précise que les arguments d'Orange "se fondent sur des éléments juridiques précis et de nombreuses analyses qui contredisent la thèse d'un pilotage du marché des mobiles et d'un gel des parts de marché."
Selon Orange, 1er opérateur mobile du pays, la notion "de 'pilotage' d'un marché de 45 millions de clients s'approvisionnant auprès de 20.000 points de vente est totalement irréaliste."
Autrement dit, le Canard a mis la lumière un dossier sensible, dossier que les opérateurs auraient préféré maintenir dans l'ombre. Mauvaise publicité.