0
Avec 3,8 milliards d'euros de revenus au 4ème trimestre 2004, la téléphonie mobile est "le" moteur de la croissance du marché français des télécoms.
Le marché français des télécommunications se porte bien : Le chiffre d'affaires global a augmenté de 2,9% sur un an, à 9,4 milliards d'euros fin 2004, selon le régulateur.
Rendu public le 17 mai 2005, l'observatoire des marchés réalisé par l'Autorité de régulation des télécoms (www.art-telecom.fr) confirme la montée en puissance de la téléphonie mobile et de l'Internet haut débit.
Les opérateurs et FAI nouvellement "déclarés" ont généré 630 millions d'euros de revenus sur le marché Internet au cours du dernier trimestre 2004, soit une progression de 75,4% sur un an ! Si l'on considère uniquement les opérateurs pris en compte fin 2003 (panel constant) la progression est toujours de 50%.
Par ailleurs, fin 2004 la France comptait 12 millions d'abonnements actifs à l'Internet, dont plus de la moitié, 6,5 millions, étaient haut débit (soit 3 millions de plus sur un an).
Du côté de la téléphonie mobile, c'est l'euphorie : Les opérateurs mobiles ont généré 3,8 milliards de revenus au quatrième trimestre 2004. Ce secteur représente 40% de l'ensemble des revenus du marché français des communications électroniques !
Dans un pays de 62 millions d'habitants, on dénombre 44,5 millions d'abonnés à la téléphonie mobile (soit une augmentation de 7% sur un an). Entre la fin 2003 et la fin 2004, le volume de communications voix a progressé de 7,8%, le transport des données de 14,7%...
Si le groupe France Télécom ne pouvait s'appuyer sur ses filiales mobile et Internet (Orange & Wanadoo), il déclinerait au même rythme que la téléphonie fixe traditionnelle.
En effet, alors que "la croissance du volume de trafic mobile (Voix et SMS) est régulière et soutenue", selon les termes de l'ART, le volume des appels fixes et des communications Internet bas débit via réseau téléphonique commuté (RTC) diminue.
Résultat, les revenus de la téléphonie fixe (3,1 milliards d'euros) ont chuté de 4,9% entre le 4ème trimestre 2003 et le 4ème trimestre 2004...
L'avenir sera mobile/flexible ou ne sera pas !
Le marché français des télécommunications se porte bien : Le chiffre d'affaires global a augmenté de 2,9% sur un an, à 9,4 milliards d'euros fin 2004, selon le régulateur.
Rendu public le 17 mai 2005, l'observatoire des marchés réalisé par l'Autorité de régulation des télécoms (www.art-telecom.fr) confirme la montée en puissance de la téléphonie mobile et de l'Internet haut débit.
Les opérateurs et FAI nouvellement "déclarés" ont généré 630 millions d'euros de revenus sur le marché Internet au cours du dernier trimestre 2004, soit une progression de 75,4% sur un an ! Si l'on considère uniquement les opérateurs pris en compte fin 2003 (panel constant) la progression est toujours de 50%.
Par ailleurs, fin 2004 la France comptait 12 millions d'abonnements actifs à l'Internet, dont plus de la moitié, 6,5 millions, étaient haut débit (soit 3 millions de plus sur un an).
Du côté de la téléphonie mobile, c'est l'euphorie : Les opérateurs mobiles ont généré 3,8 milliards de revenus au quatrième trimestre 2004. Ce secteur représente 40% de l'ensemble des revenus du marché français des communications électroniques !
Dans un pays de 62 millions d'habitants, on dénombre 44,5 millions d'abonnés à la téléphonie mobile (soit une augmentation de 7% sur un an). Entre la fin 2003 et la fin 2004, le volume de communications voix a progressé de 7,8%, le transport des données de 14,7%...
Si le groupe France Télécom ne pouvait s'appuyer sur ses filiales mobile et Internet (Orange & Wanadoo), il déclinerait au même rythme que la téléphonie fixe traditionnelle.
En effet, alors que "la croissance du volume de trafic mobile (Voix et SMS) est régulière et soutenue", selon les termes de l'ART, le volume des appels fixes et des communications Internet bas débit via réseau téléphonique commuté (RTC) diminue.
Résultat, les revenus de la téléphonie fixe (3,1 milliards d'euros) ont chuté de 4,9% entre le 4ème trimestre 2003 et le 4ème trimestre 2004...
L'avenir sera mobile/flexible ou ne sera pas !
