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L'association parisienne se prononce pour le remplacement des solutions de gestion des droits numériques par un système de traçabilité à identifiant unique.
La musique en ligne fait jazzer... Le téléchargement payant de fichiers sous copyright a les faveurs de l'industrie et des pouvoirs publics, l'échange P2P attire les internautes, l'alternative libre sous copyleft semble réservée à quelques uns.
Pas facile de trouver le bon modèle socio-économique pour la musique sur Internet !
Installée dans le 8ème arrondissement de Paris, l'association décriée RetSpan (www.retspan.info) s'est donnée pour mission "de lutter contre le piratage de contenus sur Internet". Son approche favorable aux services 'certifiés' par les majors du disque, est centrée sur les notions de droits d'auteur et de propriété intellectuelle.
Dans un communiqué daté du 20 mars 2005, RetSpan se prononce en faveur du "remplacement des systèmes de gestion des droits numériques (DRM) et des formats propriétaires par la tracabilité des contenus (marquage)" sur plates-formes payantes comme iTMS d'Apple.
Les solutions DRM (Digital Rights Management) sont préventives (protection des fichiers, gestion des transactions financières, garanties pour les ayants droit...) En revanche, le marquage consiste à placer un signal numérique dans les fichiers dans le seul but de suivre sa diffusion, éventuellement d'identifier le pirate.
L'idée n'est pas nouvelle... Les DRM ont été adoptés par l'industrie malgré les soucis d'interopérabilité qui exaspèrent les consommateurs et qui décrédibilisent la musique payante légale. Quant au marquage numérique (watermarking), il ne fait pas l'unanimité. Sur le plan technique, il doit résister aux compressions de fichiers, téléchargements, échanges et copies multiples.
RetSpan estime néanmoins que le marquage a de l'avenir, plus particulièrement "le système de traçabilité à identifiant unique". Les industriels vont-ils suivre ?
La musique en ligne fait jazzer... Le téléchargement payant de fichiers sous copyright a les faveurs de l'industrie et des pouvoirs publics, l'échange P2P attire les internautes, l'alternative libre sous copyleft semble réservée à quelques uns.
Pas facile de trouver le bon modèle socio-économique pour la musique sur Internet !
Installée dans le 8ème arrondissement de Paris, l'association décriée RetSpan (www.retspan.info) s'est donnée pour mission "de lutter contre le piratage de contenus sur Internet". Son approche favorable aux services 'certifiés' par les majors du disque, est centrée sur les notions de droits d'auteur et de propriété intellectuelle.
Dans un communiqué daté du 20 mars 2005, RetSpan se prononce en faveur du "remplacement des systèmes de gestion des droits numériques (DRM) et des formats propriétaires par la tracabilité des contenus (marquage)" sur plates-formes payantes comme iTMS d'Apple.
Les solutions DRM (Digital Rights Management) sont préventives (protection des fichiers, gestion des transactions financières, garanties pour les ayants droit...) En revanche, le marquage consiste à placer un signal numérique dans les fichiers dans le seul but de suivre sa diffusion, éventuellement d'identifier le pirate.
L'idée n'est pas nouvelle... Les DRM ont été adoptés par l'industrie malgré les soucis d'interopérabilité qui exaspèrent les consommateurs et qui décrédibilisent la musique payante légale. Quant au marquage numérique (watermarking), il ne fait pas l'unanimité. Sur le plan technique, il doit résister aux compressions de fichiers, téléchargements, échanges et copies multiples.
RetSpan estime néanmoins que le marquage a de l'avenir, plus particulièrement "le système de traçabilité à identifiant unique". Les industriels vont-ils suivre ?
