0
Le groupe français de télécommunications, ex-monopole public, va supprimer 8.000 emplois au total en 2005, dont 5.500 en France.
Dans le cadre de sa réorganisation, France Télécom, ancien monopole public français des télécommunications, a confirmé poursuivre en 2005 la réduction de ses effectifs.
Vendredi dernier lors d'un comité en présence des organisations syndicales, la direction du groupe a fait savoir que 8.000 postes allaient être supprimés au niveau mondial cette année, dont 5.500 en France.
Le groupe (www.francetelecom.com) a déclaré à l'AFP qu'il n'est pas question de licenciements mais "de départs volontaires, en retraite ou en préretraite, et de reclassements dans la fonction publique".
Parallèlement à ces suppressions de postes, le groupe entend recruter en France 3000 collaborateurs dans les domaines du commerce et du marketing, de la R&D et des réseaux.
Les 8000 suppressions d'emplois qui doivent être opérées cette année viennent s'ajouter aux 13.200 emplois supprimés en 2003 et aux 12.500 postes non renouvelés en 2004.
A ce jour, le groupe France Télécom emploie 203.500 collaborateurs à travers le monde, dont 122.900 en France.
Malgré le basculement du groupe dans la sphère privée en septembre dernier, l'opérateur emploie encore au niveau national une majorité de fonctionnaires (95.000).
Thierry BRETON, Président directeur général de France Télécom, va vraisemblablement préciser ses ambitions pour l'année en cours lors de la présentation des résultats du groupe le 10 février 2005.
Dans le cadre de sa réorganisation, France Télécom, ancien monopole public français des télécommunications, a confirmé poursuivre en 2005 la réduction de ses effectifs.
Vendredi dernier lors d'un comité en présence des organisations syndicales, la direction du groupe a fait savoir que 8.000 postes allaient être supprimés au niveau mondial cette année, dont 5.500 en France.
Le groupe (www.francetelecom.com) a déclaré à l'AFP qu'il n'est pas question de licenciements mais "de départs volontaires, en retraite ou en préretraite, et de reclassements dans la fonction publique".
Parallèlement à ces suppressions de postes, le groupe entend recruter en France 3000 collaborateurs dans les domaines du commerce et du marketing, de la R&D et des réseaux.
Les 8000 suppressions d'emplois qui doivent être opérées cette année viennent s'ajouter aux 13.200 emplois supprimés en 2003 et aux 12.500 postes non renouvelés en 2004.
A ce jour, le groupe France Télécom emploie 203.500 collaborateurs à travers le monde, dont 122.900 en France.
Malgré le basculement du groupe dans la sphère privée en septembre dernier, l'opérateur emploie encore au niveau national une majorité de fonctionnaires (95.000).
Thierry BRETON, Président directeur général de France Télécom, va vraisemblablement préciser ses ambitions pour l'année en cours lors de la présentation des résultats du groupe le 10 février 2005.
