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Si l'offensive engagée aux Etats-Unis donne de nouvelles idées à l'industrie du disque en France, les fans du P2P ont de quoi être inquiets...
L'organisation américaine du disque (Recording Industry Association of America) a déposé de nouvelles plaintes contre 717 particuliers soupçonnées d'avoir échangé et téléchargé "illégalement et gratuitement" des fichiers musicaux.
Parmi eux, une minorité a utilisé les connexions de campus universitaires de renom.
Rien de bien nouveau en vérité. Depuis septembre 2003, la RIAA poursuit en justice les particuliers soupçonnés d'avoir diffusé en ligne "des milliers de titres de musique".
En moins de 18 mois de campagne, la RIAA (www.riaa.com) a porté plainte contre 8500 personnes accusées d'échange illégal de musique sur Internet à travers des services peer-to-peer (P2P) comme Grokster, Kazaa et eDonkey.
Près d'un millier de dossiers auraient été réglés "à l'amiable", soit par le biais d'un versement estimé à 3000 dollars environ par internaute.
Dans tous les cas, la RIAA identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X". Elle souhaiterait obtenir le nom des "pirates" directement auprès de leurs fournisseurs d'accès à Internet, mais la justice américaine en a décidé autrement.
Toujours aussi déterminée en ce début d'année 2005, l'organisation américaine du disque entend bien défendre l'intérêt de ses membres (Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG...), faire respecter droits d'auteur et propriété intellectuelle conformément au Digital Millennium Copyright Act (DMCA) et promouvoir les services "payants et légaux" de musique en ligne (iTunes Music Store, Connect...)
L'organisation américaine du disque (Recording Industry Association of America) a déposé de nouvelles plaintes contre 717 particuliers soupçonnées d'avoir échangé et téléchargé "illégalement et gratuitement" des fichiers musicaux.
Parmi eux, une minorité a utilisé les connexions de campus universitaires de renom.
Rien de bien nouveau en vérité. Depuis septembre 2003, la RIAA poursuit en justice les particuliers soupçonnés d'avoir diffusé en ligne "des milliers de titres de musique".
En moins de 18 mois de campagne, la RIAA (www.riaa.com) a porté plainte contre 8500 personnes accusées d'échange illégal de musique sur Internet à travers des services peer-to-peer (P2P) comme Grokster, Kazaa et eDonkey.
Près d'un millier de dossiers auraient été réglés "à l'amiable", soit par le biais d'un versement estimé à 3000 dollars environ par internaute.
Dans tous les cas, la RIAA identifie les suspects via les adresses IP utilisées et passe par une procédure judiciaire "contre X". Elle souhaiterait obtenir le nom des "pirates" directement auprès de leurs fournisseurs d'accès à Internet, mais la justice américaine en a décidé autrement.
Toujours aussi déterminée en ce début d'année 2005, l'organisation américaine du disque entend bien défendre l'intérêt de ses membres (Warner, Universal Music, EMI, Sony, BMG...), faire respecter droits d'auteur et propriété intellectuelle conformément au Digital Millennium Copyright Act (DMCA) et promouvoir les services "payants et légaux" de musique en ligne (iTunes Music Store, Connect...)
