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SCO, détenteur des droits sur le système d'exploitation Unix, progresse dans le dossier de propriété intellectuelle qui l'oppose à Big Blue.
"Big Blue" fait grise mine... Le groupe informatique américain (www.ibm.com) a perdu une manche face à SCO (www.sco.com), 'petit' éditeur de logiciels installé à Lindo, Utah.
En mars 2003, SCO Group déposait une première plainte aux Etats-Unis contre IBM pour violation de secrets commerciaux et industriels, rupture de contrat et concurrence déloyale sur une épineuse question de propriété intellectuelle.
SCO, détenteur des droits sur le système d'exploitation Unix, estime qu'IBM a placé dans son propre système GNU/Linux du code Unix sans y être autorisé.
De son côté, IBM affirme que son adversaire a pris des libertés avec plusieurs de ses brevets et n'a pas respecté le cadre de la licence publique générale (GNU).
Après de multiples rebondissements judiciaires, SCO a finalement été autorisé à disposer d'informations clés de la part d'IBM, note des développeurs et code inclus. Estimant ne pas avoir reçu l'ensemble de ces données à échéance, SCO group a déposé une nouvelle plainte.
Statuant sur ce dossier, le juge Brooke WELLS a ordonné à IBM de fournir à SCO l'ensemble des informations souhaitées avant le printemps afin de déterminer si l'usurpation de code est avérée.
En résumé, depuis près de deux ans SCO accuse IBM, mais de dispose pas de preuves tangibles. SCO, qui n'a pas les épaules aussi larges qu'IBM, a dépensé plusieurs millions de dollars pour aboutir à ce maigre résultat.
Après analyse des nouveaux éléments du dossier, le procès censé éclaircir les débats doit s'ouvrir en novembre 2005 aux Etats-Unis.
"Big Blue" fait grise mine... Le groupe informatique américain (www.ibm.com) a perdu une manche face à SCO (www.sco.com), 'petit' éditeur de logiciels installé à Lindo, Utah.
En mars 2003, SCO Group déposait une première plainte aux Etats-Unis contre IBM pour violation de secrets commerciaux et industriels, rupture de contrat et concurrence déloyale sur une épineuse question de propriété intellectuelle.
SCO, détenteur des droits sur le système d'exploitation Unix, estime qu'IBM a placé dans son propre système GNU/Linux du code Unix sans y être autorisé.
De son côté, IBM affirme que son adversaire a pris des libertés avec plusieurs de ses brevets et n'a pas respecté le cadre de la licence publique générale (GNU).
Après de multiples rebondissements judiciaires, SCO a finalement été autorisé à disposer d'informations clés de la part d'IBM, note des développeurs et code inclus. Estimant ne pas avoir reçu l'ensemble de ces données à échéance, SCO group a déposé une nouvelle plainte.
Statuant sur ce dossier, le juge Brooke WELLS a ordonné à IBM de fournir à SCO l'ensemble des informations souhaitées avant le printemps afin de déterminer si l'usurpation de code est avérée.
En résumé, depuis près de deux ans SCO accuse IBM, mais de dispose pas de preuves tangibles. SCO, qui n'a pas les épaules aussi larges qu'IBM, a dépensé plusieurs millions de dollars pour aboutir à ce maigre résultat.
Après analyse des nouveaux éléments du dossier, le procès censé éclaircir les débats doit s'ouvrir en novembre 2005 aux Etats-Unis.
