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Après l'industrie du disque, les grands studios américains de cinéma, représentés par la MPAA, passent à l'offensive contre le piratage en ligne.
Tout comme la RIAA (Recording Industry Association of America) au service de l'industrie américaine du disque, la MPAA (Motion Picture Association of America) mène, pour le compte des studios US de cinéma, une lutte active contre la copie illégale de DVD et les téléchargements gratuits de vidéos en ligne.
Mardi, la MPAA (www.mpaa.org), dont fait partie le studio Disney, a déclaré passer à l'offensive pour limiter les téléchargements et la diffusion de vidéos sur sites P2P (peer-to-peer).
Pour plus d'impact, l'Association américaine du cinéma lance une campagne d'information auprès du grand public, les jeunes internautes en particulier, censée servir de dernier avertissement avant d'éventuelles poursuites judiciaires.
"Nous devons endiguer la vague du piratage de films sur Internet avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'elle ne mette en péril l'énergie créatrice de l'industrie cinématographique américaine et ses emplois, près d'un million", a déclaré Jack VALENTI, Président de la MPAA.
La Motion Picture Association of America va publier dans les plus importants quotidiens du pays, du Washington Post au New York Times, ainsi que dans une centaine de journaux universitaires, des encarts publicitaires ayant pour objectif de décourager les internautes à télécharger illégalement des films en ligne.
Par ailleurs, la MPAA "garde toutes les options ouvertes, notamment l'action en justice." Pour sa part, la RIAA (Recording Industry Association of America) a déposé depuis septembre dernier plus de 2000 plaintes.
Selon la MPAA, entre 400 000 et 600 000 films sont téléchargés "illégalement" (non respect des droits sur la propriété intellectuelle) au quotidien aux Etats-Unis, et ce au détriment des studios de cinéma.
Tout comme la RIAA (Recording Industry Association of America) au service de l'industrie américaine du disque, la MPAA (Motion Picture Association of America) mène, pour le compte des studios US de cinéma, une lutte active contre la copie illégale de DVD et les téléchargements gratuits de vidéos en ligne.
Mardi, la MPAA (www.mpaa.org), dont fait partie le studio Disney, a déclaré passer à l'offensive pour limiter les téléchargements et la diffusion de vidéos sur sites P2P (peer-to-peer).
Pour plus d'impact, l'Association américaine du cinéma lance une campagne d'information auprès du grand public, les jeunes internautes en particulier, censée servir de dernier avertissement avant d'éventuelles poursuites judiciaires.
"Nous devons endiguer la vague du piratage de films sur Internet avant qu'il ne soit trop tard, avant qu'elle ne mette en péril l'énergie créatrice de l'industrie cinématographique américaine et ses emplois, près d'un million", a déclaré Jack VALENTI, Président de la MPAA.
La Motion Picture Association of America va publier dans les plus importants quotidiens du pays, du Washington Post au New York Times, ainsi que dans une centaine de journaux universitaires, des encarts publicitaires ayant pour objectif de décourager les internautes à télécharger illégalement des films en ligne.
Par ailleurs, la MPAA "garde toutes les options ouvertes, notamment l'action en justice." Pour sa part, la RIAA (Recording Industry Association of America) a déposé depuis septembre dernier plus de 2000 plaintes.
Selon la MPAA, entre 400 000 et 600 000 films sont téléchargés "illégalement" (non respect des droits sur la propriété intellectuelle) au quotidien aux Etats-Unis, et ce au détriment des studios de cinéma.
