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Mardi, lors d'un entretien avec le SNEP, le ministre délégué à l'industrie a présenté un plan de lutte contre le téléchargement illégal de musique en ligne.
Le 8 juin 2004, Patrick DEVEDJIAN, ministre délégué à l'industrie, a reçu les représentants du SNEP (Syndicat national de l'édition phonographique).
A cette occasion, M. DEVEDJIAN et la direction du SNEP ont abordé les difficultés actuellement rencontrées par l'industrie musicale "face à la piraterie sur Internet", et proposé les moyens à mettre en œuvre pour améliorer la situation.
Patrick DEVEDJIAN a, lui-même, annoncé la mise en place, en concertation avec le ministre de la culture et de la communication, d'un plan national de lutte contre la piraterie, en trois axes :
Pour commencer, le gouvernement et ses partenaires souhaitent assurer l'information et la sensibilisation des internautes, notamment concernant la "loi pour la confiance dans l'économie numérique". Cette loi a été récemment votée malgré les vives critiques de l'opposition et d'organisations telles que la Ligue Odebi et Reporters sans frontières.
Ensuite, le ministre a insisté sur le suivi des poursuites judiciaires engagées à l'encontre d'un certain nombre de "pirates signalés", et pour finir M. DEVEDJIAN a fait référence à la promotion des offres légales et payantes de téléchargement de musique en ligne.
Parallèlement à ce plan national, Patrick DEVEDJIAN a salué l'initiative de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI). Cette dernière a déclaré, ce même mardi, qu'elle allait poursuivre une vingtaine de personnes accusées d'échange illégal de fichiers musicaux en volume, au Danemark, et a prévenu que des internautes installés en Grande-Bretagne, en France et en Suède pourraient être ajoutés à la liste...
Ces mesures drastiques, qui ne sont pas sans rappeler celles mises en œuvre depuis septembre 2003 par l'organisation américaine RIAA (Recording Industry Association of America), ne vont pas manquer d'attiser la critique.
La récente campagne offensive du SNEP (www.disqueenfrance.com/snep/) contre l'échange gratuit de fichiers musicaux en ligne sur réseaux Peer-to-Peer (P2P), illustrée d'un doigt d'honneur, a été désapprouvée par de nombreux internautes, artistes et organisations de gestion des droits des artistes interprètes, dont l'Adami.
Le 8 juin 2004, Patrick DEVEDJIAN, ministre délégué à l'industrie, a reçu les représentants du SNEP (Syndicat national de l'édition phonographique).
A cette occasion, M. DEVEDJIAN et la direction du SNEP ont abordé les difficultés actuellement rencontrées par l'industrie musicale "face à la piraterie sur Internet", et proposé les moyens à mettre en œuvre pour améliorer la situation.
Patrick DEVEDJIAN a, lui-même, annoncé la mise en place, en concertation avec le ministre de la culture et de la communication, d'un plan national de lutte contre la piraterie, en trois axes :
Pour commencer, le gouvernement et ses partenaires souhaitent assurer l'information et la sensibilisation des internautes, notamment concernant la "loi pour la confiance dans l'économie numérique". Cette loi a été récemment votée malgré les vives critiques de l'opposition et d'organisations telles que la Ligue Odebi et Reporters sans frontières.
Ensuite, le ministre a insisté sur le suivi des poursuites judiciaires engagées à l'encontre d'un certain nombre de "pirates signalés", et pour finir M. DEVEDJIAN a fait référence à la promotion des offres légales et payantes de téléchargement de musique en ligne.
Parallèlement à ce plan national, Patrick DEVEDJIAN a salué l'initiative de la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI). Cette dernière a déclaré, ce même mardi, qu'elle allait poursuivre une vingtaine de personnes accusées d'échange illégal de fichiers musicaux en volume, au Danemark, et a prévenu que des internautes installés en Grande-Bretagne, en France et en Suède pourraient être ajoutés à la liste...
Ces mesures drastiques, qui ne sont pas sans rappeler celles mises en œuvre depuis septembre 2003 par l'organisation américaine RIAA (Recording Industry Association of America), ne vont pas manquer d'attiser la critique.
La récente campagne offensive du SNEP (www.disqueenfrance.com/snep/) contre l'échange gratuit de fichiers musicaux en ligne sur réseaux Peer-to-Peer (P2P), illustrée d'un doigt d'honneur, a été désapprouvée par de nombreux internautes, artistes et organisations de gestion des droits des artistes interprètes, dont l'Adami.
