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Gouvernement, ART et opérateurs mobiles français négocieraient la montée en puissance des opérateurs mobiles virtuels (MVNO) au niveau national.
D'après Reuters, le gouvernement français et l'Autorité de régulation des télécommunications (www.art-telecom.fr) négocieraient actuellement avec les trois opérateurs mobiles nationaux l'ouverture effective du marché aux MVNO.
Selon la définition de l'ART : "Les MVNO (Mobile Virtual Network Operator), ou opérateurs mobiles virtuels, dépendent nécessairement d'un opérateur mobile hôte pour la fourniture de leurs services puisqu'ils ne détiennent pas de ressources en fréquences, et doivent donc utiliser le sous-système radio d'un opérateur GSM."
Toutefois, ces MVNO/opérateurs virtuels "sont attachés à disposer d'une autonomie dans leur offre de services par rapport à l'opérateur hôte et leur dispositif technique y contribue."
Dans le cadre de la croissance des services et des contenus de nouvelle génération (2,5G et 3G), le développement de ces "virtuels" aux côtés du trio actuel d'opérateurs mobiles, Orange (groupe France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, pourrait être "un atout majeur du succès de l'UMTS", selon un rapport de la Commission Consultative des Radiocommunications (CCR) publié dès 2002.
L'objectif actuel des autorités, exécutif français et ART, est d'inciter Orange, SFR et Bouygues à passer de nouveaux accords avec plusieurs opérateurs virtuels "crédibles". Il est désormais question d'accélérer l'ouverture à la concurrence du marché et, par extension, d'assurer le lancement de services avancés à valeur ajoutée (multimédia mobile et hauts débits).
On ne peut néanmoins que s'interroger sur la stratégie gouvernementale sur le sujet, d'autant qu'une quatrième licence UMTS reste disponible à un opérateur prêt à y mettre le prix.
D'après Reuters, le gouvernement français et l'Autorité de régulation des télécommunications (www.art-telecom.fr) négocieraient actuellement avec les trois opérateurs mobiles nationaux l'ouverture effective du marché aux MVNO.
Selon la définition de l'ART : "Les MVNO (Mobile Virtual Network Operator), ou opérateurs mobiles virtuels, dépendent nécessairement d'un opérateur mobile hôte pour la fourniture de leurs services puisqu'ils ne détiennent pas de ressources en fréquences, et doivent donc utiliser le sous-système radio d'un opérateur GSM."
Toutefois, ces MVNO/opérateurs virtuels "sont attachés à disposer d'une autonomie dans leur offre de services par rapport à l'opérateur hôte et leur dispositif technique y contribue."
Dans le cadre de la croissance des services et des contenus de nouvelle génération (2,5G et 3G), le développement de ces "virtuels" aux côtés du trio actuel d'opérateurs mobiles, Orange (groupe France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, pourrait être "un atout majeur du succès de l'UMTS", selon un rapport de la Commission Consultative des Radiocommunications (CCR) publié dès 2002.
L'objectif actuel des autorités, exécutif français et ART, est d'inciter Orange, SFR et Bouygues à passer de nouveaux accords avec plusieurs opérateurs virtuels "crédibles". Il est désormais question d'accélérer l'ouverture à la concurrence du marché et, par extension, d'assurer le lancement de services avancés à valeur ajoutée (multimédia mobile et hauts débits).
On ne peut néanmoins que s'interroger sur la stratégie gouvernementale sur le sujet, d'autant qu'une quatrième licence UMTS reste disponible à un opérateur prêt à y mettre le prix.
