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La Commission européenne a autorisé mardi le projet de rachat du français Noos par UPC, câblo-opérateur détenu par l'américain Liberty Media.
Suite à une notification reçue début avril 2004, l'exécutif européen a signalé mardi avoir donné son feu vert au projet de rachat du câblo-opérateur français Noos par UPC de UnitedGlobalCom, filiale du groupe américain Liberty Media, au groupe français Suez.
Cette opération de concentration "ne soulève pas de problème de concurrence" a souligné Bruxelles le 18 mai 2004 sur le portail de l'UE (http://europa.eu.int).
UPC et Noos sont actifs en France sur plusieurs (télévision à péage, acquisition de contenus télévisuels, Internet, infrastructures de télécommunications). En France, deux autres opérateurs sont présents sur le marché du câble : France Télécom Câble et NC Numéricable (groupe Vivendi).
Pour expliquer son choix, la Commission européenne a également souligné que le marché du câble en France est "sous-développé", et qu'il entre "en concurrence avec d'autres technologies comme la transmission par satellite, par voie terrestre, par ADSL, pour la télévision, pour Internet, pour le téléphonie fixe."
Si l'opération de concentration met effectivement UPC "au premier rang du marché national de la télévision par câble à péage, il n'aura qu'une part modeste de l'ensemble du marché de la télévision à péage, par rapport à Canal+, première du marché, et même TPS, l'autre gros opérateur de télévision à péage par satellite en France", a précisé la Commission européenne.
En ce qui concerne les services Internet et la téléphonie, l'opérateur historique France Télécom reste encore "incontestablement la première société du marché."
La concentration UPC/Noos intervient à un moment où la réglementation française est "revue et assouplie" pour les câblo-opérateurs. Jusqu'à présent ces derniers devaient obtenir des licences individuelles auprès des municipalités et ne pouvaient desservir des régions de plus de 8 millions d'habitants...
Suite à une notification reçue début avril 2004, l'exécutif européen a signalé mardi avoir donné son feu vert au projet de rachat du câblo-opérateur français Noos par UPC de UnitedGlobalCom, filiale du groupe américain Liberty Media, au groupe français Suez.
Cette opération de concentration "ne soulève pas de problème de concurrence" a souligné Bruxelles le 18 mai 2004 sur le portail de l'UE (http://europa.eu.int).
UPC et Noos sont actifs en France sur plusieurs (télévision à péage, acquisition de contenus télévisuels, Internet, infrastructures de télécommunications). En France, deux autres opérateurs sont présents sur le marché du câble : France Télécom Câble et NC Numéricable (groupe Vivendi).
Pour expliquer son choix, la Commission européenne a également souligné que le marché du câble en France est "sous-développé", et qu'il entre "en concurrence avec d'autres technologies comme la transmission par satellite, par voie terrestre, par ADSL, pour la télévision, pour Internet, pour le téléphonie fixe."
Si l'opération de concentration met effectivement UPC "au premier rang du marché national de la télévision par câble à péage, il n'aura qu'une part modeste de l'ensemble du marché de la télévision à péage, par rapport à Canal+, première du marché, et même TPS, l'autre gros opérateur de télévision à péage par satellite en France", a précisé la Commission européenne.
En ce qui concerne les services Internet et la téléphonie, l'opérateur historique France Télécom reste encore "incontestablement la première société du marché."
La concentration UPC/Noos intervient à un moment où la réglementation française est "revue et assouplie" pour les câblo-opérateurs. Jusqu'à présent ces derniers devaient obtenir des licences individuelles auprès des municipalités et ne pouvaient desservir des régions de plus de 8 millions d'habitants...
