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Après Orange, est-ce au tour de Wanadoo de retourner officiellement dans le giron de ? Bien que Thierry BRETON, actuel PDG du groupe, reste muet sur le sujet, les marchés financiers parient sur une offre publique d'échange sur Wanadoo, visant à racheter les 30% actuellement entre les mains de minoritaires.
Pressé par les journalistes et les analystes, Thierry Breton a simplement déclaré "écouter et lire les analyses du secteur" mais souhaite s'affirmer comme le "maître des horloges", confirmant la pertinence d'un tel scénario mais refusant d'en dire plus sur le calendrier.
Le cours de Wanadoo a progressé de près de 12% en une semaine, portant sa valorisation boursière à environ 11.5 milliards d'euros et rendant la facture encore plus salée pour France Telecom, qui devrait débourser près de 3.5 milliards d'euros en titres FT pour contrôler 100% de sa filiale spécialisée dans l'accès internet.
Sur un plan financier, cette opération aurait pour conséquence immédiate la privatisation de fait de France Telecom, puisque la part de l'Etat actionnaire passerait alors sous le seuil symbolique des 50%. Sur un plan commercial, le retour de Wanadoo dans la sphère de France Telecom permettrait à l'opérateur de lutter à armes égales avec ses principaux concurrents (Cegetel, Free, Neuf Telecom, etc...) en proposant des offres multiservices (téléphonie, télévision, Internet, VOD) basée sur la fameuse paire de cuivre axées autour d'une seule et unique marque.
Pressé par les journalistes et les analystes, Thierry Breton a simplement déclaré "écouter et lire les analyses du secteur" mais souhaite s'affirmer comme le "maître des horloges", confirmant la pertinence d'un tel scénario mais refusant d'en dire plus sur le calendrier.
Le cours de Wanadoo a progressé de près de 12% en une semaine, portant sa valorisation boursière à environ 11.5 milliards d'euros et rendant la facture encore plus salée pour France Telecom, qui devrait débourser près de 3.5 milliards d'euros en titres FT pour contrôler 100% de sa filiale spécialisée dans l'accès internet.
Sur un plan financier, cette opération aurait pour conséquence immédiate la privatisation de fait de France Telecom, puisque la part de l'Etat actionnaire passerait alors sous le seuil symbolique des 50%. Sur un plan commercial, le retour de Wanadoo dans la sphère de France Telecom permettrait à l'opérateur de lutter à armes égales avec ses principaux concurrents (Cegetel, Free, Neuf Telecom, etc...) en proposant des offres multiservices (téléphonie, télévision, Internet, VOD) basée sur la fameuse paire de cuivre axées autour d'une seule et unique marque.