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Les services du Premier ministre ont annoncé jeudi que Michel BOYON, "Monsieur TNT", a été chargé par Jean-Pierre RAFFARIN d'accompagner la mise en place de la télévision numérique terrestre, et ce "avec l'appui du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA)."
Cette nouvelle mission fera l'objet d'un rapport, rapport qui viendra compléter les deux textes précédents de M. BOYON sur la télévision numérique terrestre (TNT).
Le premier de ces textes, sur la préparation de la TNT, a été remis au Premier ministre le 18 octobre 2002, le second, sur le lancement de la TNT, a été rendu le 14 février 2003 (cf. www.ddm.gouv.fr).
L'objectif du rapport de 2002 était d'éclairer les décisions du gouvernement sur : "Les modalités de financement et l'évaluation du coût des opérations de réaménagement des fréquences nécessaires à la mise en place de la TNT ; le périmètre des chaînes de service public sur la TNT ; et les conditions de développement des télévisions locales."
Le second rapport a mis l'accent sur : "La coordination des travaux de réaménagement des fréquences analogiques ; les risques de brouillage de la réception par câble liés à la diffusion de la TNT ; les obligations de "must carry" des chaînes de la TNT par les câblo-opérateurs ; et, toujours, le développement des télévisions locales."
Ce texte a par ailleurs confirmé le calendrier prévisionnel proposé dans le premier rapport. Le lancement de la TNT en France reste prévu pour la fin de l'année 2004.
Aujourd'hui, il est question de coordonner le projet de TNT et de prendre "les dispositions législatives nécessaires à la création d'un environnement favorable au développement des télévisions locales."
Un tel programme implique de nombreux acteurs : organisations professionnelles, consommateurs, CSA, ministères, collectivités locales...
Cette nouvelle mission fera l'objet d'un rapport, rapport qui viendra compléter les deux textes précédents de M. BOYON sur la télévision numérique terrestre (TNT).
Le premier de ces textes, sur la préparation de la TNT, a été remis au Premier ministre le 18 octobre 2002, le second, sur le lancement de la TNT, a été rendu le 14 février 2003 (cf. www.ddm.gouv.fr).
L'objectif du rapport de 2002 était d'éclairer les décisions du gouvernement sur : "Les modalités de financement et l'évaluation du coût des opérations de réaménagement des fréquences nécessaires à la mise en place de la TNT ; le périmètre des chaînes de service public sur la TNT ; et les conditions de développement des télévisions locales."
Le second rapport a mis l'accent sur : "La coordination des travaux de réaménagement des fréquences analogiques ; les risques de brouillage de la réception par câble liés à la diffusion de la TNT ; les obligations de "must carry" des chaînes de la TNT par les câblo-opérateurs ; et, toujours, le développement des télévisions locales."
Ce texte a par ailleurs confirmé le calendrier prévisionnel proposé dans le premier rapport. Le lancement de la TNT en France reste prévu pour la fin de l'année 2004.
Aujourd'hui, il est question de coordonner le projet de TNT et de prendre "les dispositions législatives nécessaires à la création d'un environnement favorable au développement des télévisions locales."
Un tel programme implique de nombreux acteurs : organisations professionnelles, consommateurs, CSA, ministères, collectivités locales...
