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L'Autorité de régulation des télécommunications (ART) a publié mercredi des notes sur le marché de la téléphonie mobile pour la métropole à la fin 2002, notes complémentaires à une analyse rendue publique récemment.
Quid des parts de marché des trois opérateurs mobiles français ?
Orange France, toujours à la tête du secteur, a maintenu sa part de marché globale, parcs pré et postpayé inclus, à 49,6% au quatrième trimestre 2002.
Cette proportion est identique à celle communiquée par l'ART pour le trimestre précédent, soit 49,6% contre 49,1% au second et 48,8% au début de l'année 2002.
La filiale de France Télécom domine toujours le marché.
De son côté, la filiale mobile de Cegetel, SFR, a enregistré un de ses meilleurs scores sur trois ans avec une part de marché à 35,3% fin 2002, contre 35% au troisième trimestre, et 35,6% "à son plus haut" au début de l'année 2000.
Quant à la part de marché du dernier des opérateurs mobiles français, Bouygues Telecom, elle a reculé au profit de ses concurrents au quatrième trimestre 2002. Il faut dire que la diminution du parc prépayé a été très forte chez Bouygues T...
En trois ans, la filiale du groupe Bouygues a enregistré son plus mauvais score à 15,1% fin 2002, contre 15,4% le trimestre précédent, 18,3% au second trimestre 2001, au moment où SFR perdait quelques points, et 16,4% début 2000.
Résultat, la courbe de Bouygues Telecom proposée par l'ART pour la période du T1 2000 au T4 2002, est descendante, contrairement à celle d'Orange (ascendante) et de SFR ("concave").
Globalement, l'évolution du marché des mobiles en métropole montre que la croissance du nombre de clients "se tasse mais reste positive". Cependant, "les évolutions des parts de marché sur le parc total ne sont pas observées sur le parc postpayé (forfaits)", a souligné l'ART.
La politique commerciale des opérateurs français de téléphonie mobile, "incitant au transfert des cartes prépayées vers des contrats au forfait", a grandement influencé la croissance du parc postpayé. Ce secteur reste dynamique.
Quid des parts de marché des trois opérateurs mobiles français ?
Orange France, toujours à la tête du secteur, a maintenu sa part de marché globale, parcs pré et postpayé inclus, à 49,6% au quatrième trimestre 2002.
Cette proportion est identique à celle communiquée par l'ART pour le trimestre précédent, soit 49,6% contre 49,1% au second et 48,8% au début de l'année 2002.
La filiale de France Télécom domine toujours le marché.
De son côté, la filiale mobile de Cegetel, SFR, a enregistré un de ses meilleurs scores sur trois ans avec une part de marché à 35,3% fin 2002, contre 35% au troisième trimestre, et 35,6% "à son plus haut" au début de l'année 2000.
Quant à la part de marché du dernier des opérateurs mobiles français, Bouygues Telecom, elle a reculé au profit de ses concurrents au quatrième trimestre 2002. Il faut dire que la diminution du parc prépayé a été très forte chez Bouygues T...
En trois ans, la filiale du groupe Bouygues a enregistré son plus mauvais score à 15,1% fin 2002, contre 15,4% le trimestre précédent, 18,3% au second trimestre 2001, au moment où SFR perdait quelques points, et 16,4% début 2000.
Résultat, la courbe de Bouygues Telecom proposée par l'ART pour la période du T1 2000 au T4 2002, est descendante, contrairement à celle d'Orange (ascendante) et de SFR ("concave").
Globalement, l'évolution du marché des mobiles en métropole montre que la croissance du nombre de clients "se tasse mais reste positive". Cependant, "les évolutions des parts de marché sur le parc total ne sont pas observées sur le parc postpayé (forfaits)", a souligné l'ART.
La politique commerciale des opérateurs français de téléphonie mobile, "incitant au transfert des cartes prépayées vers des contrats au forfait", a grandement influencé la croissance du parc postpayé. Ce secteur reste dynamique.
