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Dans un communiqué publié mardi, l'Association française des opérateurs mobiles (AFOM) a tenu à préciser l'accord établi avec la Ville de Paris à propos d'une charte sur les antennes-relais.
Vendredi dernier, les représentants de la Ville et ceux des trois opérateurs français de téléphonie mobile, Orange, SFR et Bouygues Telecom, ont signé un accord "sur les principes à retenir pour la rédaction d'une charte relative à l'installation des antennes-relais."
Pour contrer certaines "interprétations erronées", l'AFOM a insisté sur le fait que cet accord "ne concerne pas la révision des normes."
Celui-ci est aujourd'hui "en voie d'être traduit formellement dans une charte qui devrait faire l'objet d'une signature entre la Ville de Paris et les opérateurs dans les toutes prochaines semaines."
Cette charte devra : "définir les règles d'information et de concertation relatives aux installations d'antennes-relais" ; "favoriser l'insertion des antennes-relais dans l'environnement parisien en veillant au respect du paysage urbain", et enfin : "répondre aux interrogations d'une partie de la population sur les niveaux de champs électromagnétiques."
L'AFOM rappelle par ailleurs dans son communiqué que les opérateurs se sont montrés d'emblée favorables "à une approche qui privilégie un renforcement du dispositif de mesures au voisinage des antennes."
L'Association est convaincue que ces mesures réalisées par des organismes indépendants selon le protocole de l'Agence Nationale des Fréquences, "permettront de confirmer que les champs existants sont faibles dans leur grande majorité, de l'ordre de 20 fois inférieurs aux seuils limites."
Quoi qu'il en soit, l'AFOM maintient qu'elle ne remet pas en cause "les seuils fixés par le décret du 3 mai 2002 correspondant à des recommandations scientifiques internationales et à la réglementation européenne."
Vendredi dernier, les représentants de la Ville et ceux des trois opérateurs français de téléphonie mobile, Orange, SFR et Bouygues Telecom, ont signé un accord "sur les principes à retenir pour la rédaction d'une charte relative à l'installation des antennes-relais."
Pour contrer certaines "interprétations erronées", l'AFOM a insisté sur le fait que cet accord "ne concerne pas la révision des normes."
Celui-ci est aujourd'hui "en voie d'être traduit formellement dans une charte qui devrait faire l'objet d'une signature entre la Ville de Paris et les opérateurs dans les toutes prochaines semaines."
Cette charte devra : "définir les règles d'information et de concertation relatives aux installations d'antennes-relais" ; "favoriser l'insertion des antennes-relais dans l'environnement parisien en veillant au respect du paysage urbain", et enfin : "répondre aux interrogations d'une partie de la population sur les niveaux de champs électromagnétiques."
L'AFOM rappelle par ailleurs dans son communiqué que les opérateurs se sont montrés d'emblée favorables "à une approche qui privilégie un renforcement du dispositif de mesures au voisinage des antennes."
L'Association est convaincue que ces mesures réalisées par des organismes indépendants selon le protocole de l'Agence Nationale des Fréquences, "permettront de confirmer que les champs existants sont faibles dans leur grande majorité, de l'ordre de 20 fois inférieurs aux seuils limites."
Quoi qu'il en soit, l'AFOM maintient qu'elle ne remet pas en cause "les seuils fixés par le décret du 3 mai 2002 correspondant à des recommandations scientifiques internationales et à la réglementation européenne."