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Après que le site web de la RIAA (http://www.riaa.org), puissante organisation américaine de défense des intérêts de l'industrie du disque, ait été attaqué en fin de semaine dernière, une enquête fédérale a été ouverte.
Pour mémoire la fameuse Recording Industry Association of America - RIAA regroupe les majors du disque : Warner Music Group, Universal Music, Sony Music, EMI et BMG.
Le portail de l'organisation, devenu une des principales cibles des pirates informatiques depuis que la RIAA a intensifié sa campagne de lutte contre la copie numérique illégale et l'échange gratuit de fichiers musicaux en ligne (peer-to-peer), était toujours inaccessible mercredi 29 janvier...
"Il est lamentable de voir que les partisans de la musique libre ne croient pas à la liberté d'expression", a déclaré Amy WEISS, la porte-parole de la RIAA.
La direction de l'organisation estime que l'attaque du site n'est pas liée à la propagation du virus "SQL Slammer", qui a freiné le Réseau mondial le week-end dernier et qui semble continuer son petit bonhomme de chemin.
La RIAA pense plutôt à une attaque de type DoS ("denial-of-service" ou déni de service) visant à paralyser un serveur en le submergeant de requêtes/trafic. Un classique qui empoisonne les "gros" sites marchands et gouvernementaux.
En attendant la reprise, le FBI - Federal Bureau of Investigation et les services secrets américains mènent l'enquête.
Pour mémoire la fameuse Recording Industry Association of America - RIAA regroupe les majors du disque : Warner Music Group, Universal Music, Sony Music, EMI et BMG.
Le portail de l'organisation, devenu une des principales cibles des pirates informatiques depuis que la RIAA a intensifié sa campagne de lutte contre la copie numérique illégale et l'échange gratuit de fichiers musicaux en ligne (peer-to-peer), était toujours inaccessible mercredi 29 janvier...
"Il est lamentable de voir que les partisans de la musique libre ne croient pas à la liberté d'expression", a déclaré Amy WEISS, la porte-parole de la RIAA.
La direction de l'organisation estime que l'attaque du site n'est pas liée à la propagation du virus "SQL Slammer", qui a freiné le Réseau mondial le week-end dernier et qui semble continuer son petit bonhomme de chemin.
La RIAA pense plutôt à une attaque de type DoS ("denial-of-service" ou déni de service) visant à paralyser un serveur en le submergeant de requêtes/trafic. Un classique qui empoisonne les "gros" sites marchands et gouvernementaux.
En attendant la reprise, le FBI - Federal Bureau of Investigation et les services secrets américains mènent l'enquête.
