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L'industrie du logiciel ne sera pas épargnée par la neteconomie. Fondé en 1982 par Mitck KAPOR puis racheté par en 1995 pour 3,5 milliards de dollars, la marque 'Lotus' fête cette année ses 20 ans et se prépare à la révolution des web services.
En effet, après avoir été l'un des pionniers du tableur avec 1-2-3 et surtout avoir imposé le concept du logiciel collaboratif avec Lotus Notes auprès de 100 millions d'utilisateurs professionnels, la marque ambitionne désormais de "valoriser le capital humain" comme le précise Emmanuel de Guillebon, Directeur de Lotus Software France.
Tout en restant présent dans le domaine de l'infrastructure avec ses serveurs domino ou ses bases de données, Lotus doit désormais laisser la place aux produits WebSphere et DB2 d'IBM tout en se focalisant sur les applications de messagerie (Notes, désormais en version 6), de collaboration avancée (messagerie instantanée SameTime, gestion de groupes QuickPlace) et de eLearning (Learning Space).
A l'instar de l'ensemble de l'industrie informatique, Lotus se prépare à la révolution des web services et entend faire de ses applications de véritables composants de base, qui pourront être intégrés aux serveurs d'applications d'IBM (websphere) mais également avec tous les autres produits compatibles .Net et J2EE. Ces composant pourront ainsi être "assemblés" dans des applications professionnelles verticales, dans des portails d'entreprises et pourquoi pas dans des portails web puisque le web service de tchat de Lotus a été retenu par Terra Lycos aux Etats-Unis.
Confronté depuis des années à la concurrence de Microsoft et dans une moindre mesure de , Lotus pourrait donc voir arriver sur son marché des "pure players" comme , dont les web services de collaboration (Yahoo Messenger, Yahoo Groupes, Yahoo Mail, etc...) ont séduit des millions d'internautes et pourquoi pas demain, des entreprises, depuis la création de Yahoo Corporate. Rendez vous dans 20 ans pour faire le point...
En effet, après avoir été l'un des pionniers du tableur avec 1-2-3 et surtout avoir imposé le concept du logiciel collaboratif avec Lotus Notes auprès de 100 millions d'utilisateurs professionnels, la marque ambitionne désormais de "valoriser le capital humain" comme le précise Emmanuel de Guillebon, Directeur de Lotus Software France.
Tout en restant présent dans le domaine de l'infrastructure avec ses serveurs domino ou ses bases de données, Lotus doit désormais laisser la place aux produits WebSphere et DB2 d'IBM tout en se focalisant sur les applications de messagerie (Notes, désormais en version 6), de collaboration avancée (messagerie instantanée SameTime, gestion de groupes QuickPlace) et de eLearning (Learning Space).
A l'instar de l'ensemble de l'industrie informatique, Lotus se prépare à la révolution des web services et entend faire de ses applications de véritables composants de base, qui pourront être intégrés aux serveurs d'applications d'IBM (websphere) mais également avec tous les autres produits compatibles .Net et J2EE. Ces composant pourront ainsi être "assemblés" dans des applications professionnelles verticales, dans des portails d'entreprises et pourquoi pas dans des portails web puisque le web service de tchat de Lotus a été retenu par Terra Lycos aux Etats-Unis.
Confronté depuis des années à la concurrence de Microsoft et dans une moindre mesure de , Lotus pourrait donc voir arriver sur son marché des "pure players" comme , dont les web services de collaboration (Yahoo Messenger, Yahoo Groupes, Yahoo Mail, etc...) ont séduit des millions d'internautes et pourquoi pas demain, des entreprises, depuis la création de Yahoo Corporate. Rendez vous dans 20 ans pour faire le point...
