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Faute d'un accord rapide, le câblo-opérateur britannique NTL pourrait manquer de financement pour poursuivre ses activités. La société croule sous une dette de 20 milliards d'euros et a vu sa perte nette se multiplier par 10, à 14,6 milliards d'euros au dernier trimestre 2001.
Avec de tels résultats, il est difficile de trouver les arguments pour convaincre de nouveaux investisseurs à soutenir la société.
France Telecom, actionnaire à hauteur de 18,5% l'a bien compris puisque Michel BON a passé 4.58 milliards d'euros de provisions dans ses comptes pour couvrir la perte de valeur de NTL et a indiqué vouloir sortir du câblo-opérateur britannique.
Après avoir déjà supprimé 8000 postes, NTL a vu sa valeur chuter de 99% en 2001. L'action passée sous le seuil des 1 dollars n'a pas pu être cotée hier à Wall Street et la capitalisation boursière du groupe est 35 fois inférieure à sa dette.
Sa seule solution pour s'en sortir est de trouver un partenaire dans des délais très courts.
Liberty Media, le groupe américain présidé par John Malone pourrait être intéressé afin de créer en Grande Bretagne un groupe capable de concurrencer le leader britannique de télévision payante BskyB, propriété de Rupert Murdoch.
Le géant mondial des media AOL serait aussi sur les rangs.
Le groupe, qui détenait 180.000 abonnés au Royaume Uni fin décembre, occupe pourtant la première place des câblo-opérateurs britanniques. Mais parviendra-t-il à restructurer sa dette écrasante ? A suivre....
Avec de tels résultats, il est difficile de trouver les arguments pour convaincre de nouveaux investisseurs à soutenir la société.
France Telecom, actionnaire à hauteur de 18,5% l'a bien compris puisque Michel BON a passé 4.58 milliards d'euros de provisions dans ses comptes pour couvrir la perte de valeur de NTL et a indiqué vouloir sortir du câblo-opérateur britannique.
Après avoir déjà supprimé 8000 postes, NTL a vu sa valeur chuter de 99% en 2001. L'action passée sous le seuil des 1 dollars n'a pas pu être cotée hier à Wall Street et la capitalisation boursière du groupe est 35 fois inférieure à sa dette.
Sa seule solution pour s'en sortir est de trouver un partenaire dans des délais très courts.
Liberty Media, le groupe américain présidé par John Malone pourrait être intéressé afin de créer en Grande Bretagne un groupe capable de concurrencer le leader britannique de télévision payante BskyB, propriété de Rupert Murdoch.
Le géant mondial des media AOL serait aussi sur les rangs.
Le groupe, qui détenait 180.000 abonnés au Royaume Uni fin décembre, occupe pourtant la première place des câblo-opérateurs britanniques. Mais parviendra-t-il à restructurer sa dette écrasante ? A suivre....
