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UMTS : Les mobinautes belges doivent encore patienter, la Belgique repousse le lancement de la téléphonie mobile de troisième génération à septembre 2003.
Tandis qu'au Japon la 3G est lancée depuis le 1er octobre dernier, la téléphonie mobile de troisième génération a du mal à se lancer sur le continent européen.
A la suite d'enchères, la Belgique a accordé en février 2001 une licence UMTS aux trois opérateurs mobiles du pays : Mobistar NV (France Télécom), Proximus (Belgacom) et KPN-Orange.
Fin janvier 2002, les trois opérateurs belges demandaient à leur gouvernement l'autorisation de retarder d'une année le lancement des services de troisième génération, parce qu'ils ne disposaient pas de l'équipement nécessaire à la mise en place des réseaux 3G dans les temps impartis initialement.
Ils se sont en plus heurtés à des difficultés de fonctionnement des portables 3G et n'ont pas obtenu l'autorisation de construire les relais de leurs réseaux.
"Nous ne voulons pas mettre sur le marché une technologie qui n'est pas prête", déclarait le porte-parole de Mobistar, Thierry BOUCKAERT.
Vendredi dernier, le ministre belge des télécommunications, Rik DAEMS annonçait que le lancement de l'UMTS était repoussé à septembre 2003, au lieu du 1er septembre 2002 comme prévu à l'origine.
L'autorité de régulation des télécoms belges, l'IBPT - Institut belge des services postaux et de télécommunications (www.ibpt.be), aurait donné son aval.
La Belgique n'est pas le premier pays européen a avoir retardé le lancement de l'UMTS, c'est aussi le cas pour la Suisse.
Les mobinautes belges devront donc encore patienter avant de pouvoir profiter de la navigation sur Internet, du courrier électronique, et de l'échange de musique et de vidéo par le biais d'un combiné mobile 3G.
Tandis qu'au Japon la 3G est lancée depuis le 1er octobre dernier, la téléphonie mobile de troisième génération a du mal à se lancer sur le continent européen.
A la suite d'enchères, la Belgique a accordé en février 2001 une licence UMTS aux trois opérateurs mobiles du pays : Mobistar NV (France Télécom), Proximus (Belgacom) et KPN-Orange.
Fin janvier 2002, les trois opérateurs belges demandaient à leur gouvernement l'autorisation de retarder d'une année le lancement des services de troisième génération, parce qu'ils ne disposaient pas de l'équipement nécessaire à la mise en place des réseaux 3G dans les temps impartis initialement.
Ils se sont en plus heurtés à des difficultés de fonctionnement des portables 3G et n'ont pas obtenu l'autorisation de construire les relais de leurs réseaux.
"Nous ne voulons pas mettre sur le marché une technologie qui n'est pas prête", déclarait le porte-parole de Mobistar, Thierry BOUCKAERT.
Vendredi dernier, le ministre belge des télécommunications, Rik DAEMS annonçait que le lancement de l'UMTS était repoussé à septembre 2003, au lieu du 1er septembre 2002 comme prévu à l'origine.
L'autorité de régulation des télécoms belges, l'IBPT - Institut belge des services postaux et de télécommunications (www.ibpt.be), aurait donné son aval.
La Belgique n'est pas le premier pays européen a avoir retardé le lancement de l'UMTS, c'est aussi le cas pour la Suisse.
Les mobinautes belges devront donc encore patienter avant de pouvoir profiter de la navigation sur Internet, du courrier électronique, et de l'échange de musique et de vidéo par le biais d'un combiné mobile 3G.
