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Vodafone et Vivendi Universal annoncent le depart du directeur général de Vizzavi, la suppresion de 100 postes et la révision du modèle économique
Le portail internet multi-accès Vizzavi, détenu à parité par le français Vivendi Universal et l'opérateur de téléphonie mobile britannique Vodafone, vient d'annoncer le départ de son directeur général Evan Newmark, qui dirigeait la société depuis sa création en mai 2000. Il sera remplacé à partir du 31 janvier par l'actuel directeur du marketing Guy Laurence.
Les deux groupes contrôlant la société indiquent également qu'une restructuration de l'entreprise entraînera la suppression d'une centaine de postes sur les quelque 800 personnes que Vizzavi emploie actuellement en Europe.
Enfin, les deux partenaires ont révisé le modèle économique de leur co-entreprise, et la répartition des recettes.
Jusque là, Vodafone et Vivendi se partageaient les marges brutes de Vizzavi, qui n'a toujours pas dégagé de bénéfice net. Désormais, Vizzavi encaissera 5% des recettes générées par les opérateurs sur le temps d'accès aux services et 80% du chiffre d'affaires issu des ventes du contenu qu'il fournit, notamment les sonneries de mobiles personnalisées, les logos et les jeux, le solde revenant aux opérateurs.
Cette nouvelle répartition des revenus devrait permettre à Vizzavi de confirmer son objectif de rentabilité avant la fin 2003 et à ses partenaires d'être mieux rémunérés, explique le groupe dans un communiqué.
Cependant, même si Vizzavi se déclare confiant et affiche un nombre d'abonnés en forte hausse, le service semble avoir du mal à trouver ses marques et reste assez secret sur les résultats.
Le portail internet multi-accès Vizzavi, détenu à parité par le français Vivendi Universal et l'opérateur de téléphonie mobile britannique Vodafone, vient d'annoncer le départ de son directeur général Evan Newmark, qui dirigeait la société depuis sa création en mai 2000. Il sera remplacé à partir du 31 janvier par l'actuel directeur du marketing Guy Laurence.
Les deux groupes contrôlant la société indiquent également qu'une restructuration de l'entreprise entraînera la suppression d'une centaine de postes sur les quelque 800 personnes que Vizzavi emploie actuellement en Europe.
Enfin, les deux partenaires ont révisé le modèle économique de leur co-entreprise, et la répartition des recettes.
Jusque là, Vodafone et Vivendi se partageaient les marges brutes de Vizzavi, qui n'a toujours pas dégagé de bénéfice net. Désormais, Vizzavi encaissera 5% des recettes générées par les opérateurs sur le temps d'accès aux services et 80% du chiffre d'affaires issu des ventes du contenu qu'il fournit, notamment les sonneries de mobiles personnalisées, les logos et les jeux, le solde revenant aux opérateurs.
Cette nouvelle répartition des revenus devrait permettre à Vizzavi de confirmer son objectif de rentabilité avant la fin 2003 et à ses partenaires d'être mieux rémunérés, explique le groupe dans un communiqué.
Cependant, même si Vizzavi se déclare confiant et affiche un nombre d'abonnés en forte hausse, le service semble avoir du mal à trouver ses marques et reste assez secret sur les résultats.
