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Selon une étude du cabinet Cesmo, en France les services IP (Internet Protocol) ont le vent en poupe.
D'après le «Panorama des opérateurs télécoms en France» publié en mai par le cabinet de conseil Cesmo, le secteur des services IP en France se porte bien.
Le marché français des services IP (Internet Protocol) aurait représenté 13 milliards de francs en 2000, contre 5 milliards en 1999. Selon Cesmo, cette valeur devrait atteindre 38 milliards en 2002, et 88 milliards de francs en 2005.
Sur l'ensemble du marché français des télécommunications, les services IP gagnent du terrain.
Fin 2000, ceux-ci auraient représenté 10% du secteur, secteur estimé à 171 milliards de francs. Cette part devrait atteindre 46% du marché global des services de télécommunications en 2005 (la valeur du secteur est alors estimée à 191 milliards de francs.)
Des services Internet classiques (connectivité, conception et hébergement de sites web), Intranet, et de commerce électronique, ce-sont les services Intranet qui ont le plus progressé depuis 1999.
Par ailleurs, l'étude observe un léger recul de la croissance du marché grand public au profit du marché professionnel.
Enfin, selon Cesmo certains fournisseurs IP seraient amenés à disparaître.
Les ISP indépendants (Eunet, Magic Online, Psinet, etc.) qui ciblent les entreprises sont fragilisés par des difficultés financières et doivent faire face à la concurrence des grands groupes.
Les hébergeurs «purs» tels que Fluxus, racheté par BT Ignite, et Integra, face à une OPE de l'Américain Genuity, ne sont pas mieux lotis et doivent évoluer vers d'autres services.
De nouveaux acteurs émergent cependant. Les opérateurs de boucle locale notamment (Subiteo) pourraient bénéficier d'une «démocratisation» de l'ADSL.
Quant aux opérateurs IP (InterXion, Uunet), fort de leur expertise technique, ils ont des arguments qui intéressent les professionnels, tout comme les ISP virtuels (Claranet, E-Brands, Internet Telecom) qui proposent leurs services en marque blanche.
D'après le «Panorama des opérateurs télécoms en France» publié en mai par le cabinet de conseil Cesmo, le secteur des services IP en France se porte bien.
Le marché français des services IP (Internet Protocol) aurait représenté 13 milliards de francs en 2000, contre 5 milliards en 1999. Selon Cesmo, cette valeur devrait atteindre 38 milliards en 2002, et 88 milliards de francs en 2005.
Sur l'ensemble du marché français des télécommunications, les services IP gagnent du terrain.
Fin 2000, ceux-ci auraient représenté 10% du secteur, secteur estimé à 171 milliards de francs. Cette part devrait atteindre 46% du marché global des services de télécommunications en 2005 (la valeur du secteur est alors estimée à 191 milliards de francs.)
Des services Internet classiques (connectivité, conception et hébergement de sites web), Intranet, et de commerce électronique, ce-sont les services Intranet qui ont le plus progressé depuis 1999.
Par ailleurs, l'étude observe un léger recul de la croissance du marché grand public au profit du marché professionnel.
Enfin, selon Cesmo certains fournisseurs IP seraient amenés à disparaître.
Les ISP indépendants (Eunet, Magic Online, Psinet, etc.) qui ciblent les entreprises sont fragilisés par des difficultés financières et doivent faire face à la concurrence des grands groupes.
Les hébergeurs «purs» tels que Fluxus, racheté par BT Ignite, et Integra, face à une OPE de l'Américain Genuity, ne sont pas mieux lotis et doivent évoluer vers d'autres services.
De nouveaux acteurs émergent cependant. Les opérateurs de boucle locale notamment (Subiteo) pourraient bénéficier d'une «démocratisation» de l'ADSL.
Quant aux opérateurs IP (InterXion, Uunet), fort de leur expertise technique, ils ont des arguments qui intéressent les professionnels, tout comme les ISP virtuels (Claranet, E-Brands, Internet Telecom) qui proposent leurs services en marque blanche.
