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La Côte d'Ivoire manque de moyens pour développer l'usage d'Internet sur son territoire.
Le gouvernement de la Côte d'Ivoire cherche «à s'inscrire dans la dynamique de la mondialisation» et à développer l'usage d'Internet sur son territoire, malgré le manque de moyens.
«Nous envisageons à très court terme la défiscalisation du matériel informatique. Avant la fin du mois, le projet de loi sera sur la table des députés» annonçait Lia Bi DOUAYOUA, Ministre de la communication et des nouvelles technologies de l'information, à l'AFP.
A ce jour, le matériel informatique est taxé à 37,2% en moyenne. Le matériel est toujours trop cher pour les utilisateurs, qu'ils soient fournisseurs d'accès, étudiants, ou entrepreneurs.
Un étudiant ivoirien doit payer en moyenne 10 000 francs CFA (100 FF) forfaitaires par mois pour se connecter.
Le gouvernement souhaiterait négocier une baisse des tarifs de communication avec l'opérateur Côte d'Ivoire Télécom. Ce dernier créait le fournisseur d'accès Aviso en mai 1999 avec l'aide financière de France Télécom. Aviso compte plus de 6 000 abonnés et contrôle 53% du marché.
Le Ministre de la communication remarque que l'objectif de ces négociations et «de faire entrer le téléphone puis Internet dans les villages.»
Aujourd'hui, d'après les autorités ivoiriennes, le pays compte près de 15,4 millions d'habitants, parmi eux 10 000 individus disposeraient d'une adresse électronique, 268 000 seraient abonnés au téléphone fixe, et 470 000 auraient un abonnement mobile.
«Ce n'est pas du snobisme. Internet peut vraiment aider les communautés rurales dans le domaine de la santé, de l'agriculture et de l'éducation» conclut le Ministre ivoirien de la communication et des nouvelles technologies.
Le gouvernement de la Côte d'Ivoire cherche «à s'inscrire dans la dynamique de la mondialisation» et à développer l'usage d'Internet sur son territoire, malgré le manque de moyens.
«Nous envisageons à très court terme la défiscalisation du matériel informatique. Avant la fin du mois, le projet de loi sera sur la table des députés» annonçait Lia Bi DOUAYOUA, Ministre de la communication et des nouvelles technologies de l'information, à l'AFP.
A ce jour, le matériel informatique est taxé à 37,2% en moyenne. Le matériel est toujours trop cher pour les utilisateurs, qu'ils soient fournisseurs d'accès, étudiants, ou entrepreneurs.
Un étudiant ivoirien doit payer en moyenne 10 000 francs CFA (100 FF) forfaitaires par mois pour se connecter.
Le gouvernement souhaiterait négocier une baisse des tarifs de communication avec l'opérateur Côte d'Ivoire Télécom. Ce dernier créait le fournisseur d'accès Aviso en mai 1999 avec l'aide financière de France Télécom. Aviso compte plus de 6 000 abonnés et contrôle 53% du marché.
Le Ministre de la communication remarque que l'objectif de ces négociations et «de faire entrer le téléphone puis Internet dans les villages.»
Aujourd'hui, d'après les autorités ivoiriennes, le pays compte près de 15,4 millions d'habitants, parmi eux 10 000 individus disposeraient d'une adresse électronique, 268 000 seraient abonnés au téléphone fixe, et 470 000 auraient un abonnement mobile.
«Ce n'est pas du snobisme. Internet peut vraiment aider les communautés rurales dans le domaine de la santé, de l'agriculture et de l'éducation» conclut le Ministre ivoirien de la communication et des nouvelles technologies.