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Après une année riche en alliances et fusions, Vivendi devrait prochainement officialiser sa sortie de la plate-forme BskyB de télévision numérique, créée par le magnat Rupert Murdoch.
Les chaises musicales continuent. Après une année riche en alliances et fusions, Vivendi devrait prochainement officialiser sa sortie de la plate-forme BskyB de télévision numérique, créée par le magnat Rupert Murdoch. Suite à la création de Vizzavi, avec l'opérateur mobile Vodaphone, et à l'absorption de Canal+, Vivendi est désormais obligé par la commission européenne de se retirer de BskyB afin de ne pas trop peser sur l'ensemble de la télévision numérique sur le vieux continent. Aux côtés de NewsCorp, la holding de Murdoch, qui détient 40% de BskyB, Vivendi contrôle 22.7% du capital, valorisés à près de 8 milliards d'euros. Après la cession des alcools Seagram, Vivendi devrait encore se débarrasser des 55% qu'il détient dans AOL France. Fort de ce magot, il devrait enfin se concentrer sur le développement de Vizzavi, dont les résultats sont aujourd'hui particulièrement médiocres.
Les chaises musicales continuent. Après une année riche en alliances et fusions, Vivendi devrait prochainement officialiser sa sortie de la plate-forme BskyB de télévision numérique, créée par le magnat Rupert Murdoch. Suite à la création de Vizzavi, avec l'opérateur mobile Vodaphone, et à l'absorption de Canal+, Vivendi est désormais obligé par la commission européenne de se retirer de BskyB afin de ne pas trop peser sur l'ensemble de la télévision numérique sur le vieux continent. Aux côtés de NewsCorp, la holding de Murdoch, qui détient 40% de BskyB, Vivendi contrôle 22.7% du capital, valorisés à près de 8 milliards d'euros. Après la cession des alcools Seagram, Vivendi devrait encore se débarrasser des 55% qu'il détient dans AOL France. Fort de ce magot, il devrait enfin se concentrer sur le développement de Vizzavi, dont les résultats sont aujourd'hui particulièrement médiocres.
