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Selon une nouvelle étude GfK, la part du commerce électronique en Europe a doublé, mais ne représente que 2% du marché des biens techniques et des contenus.
Le groupe GFK, spécialisé dans les étudesmarketing, a révélé les résultats de sa nouvelle étude consacrée au commerce électronique en Europe. Selon cette étude, la part du e-commerce a doublé en un an, mais ne représente que 2% du marché total des biens techniques et des contenus. En 1999, le chiffre d'affaires généré par les biens techniques (équipements et contenus) a représenté 141.4 milliards d'euros. Les ventes directes s'élèvent à 15.6 milliards d'euros (du fabricant à l'acquéreur final, via le web compris). 124.6 milliards d'euros sont issus des circuits traditionnels (« bricks & mortar »). La différence, soit 1.23 milliards d'euros, représente la valeur générée par l'e-commerce (« Clicks and mortar et purs e-players »). En 1999, la part du e-commerce était donc de 0.9% du chiffre d'affaires total. Sur les 4 premiers mois de l'année 2000, le paysage change rapidement, les ventes issues des click and mortars et des pure e-retailers atteignent 2% des ventes globales soit une part plus que doublée. Une analyse sectorielle révèle que les produits de la microinformatique et les supports du contenu (logiciels, musique, image...) acaparent la plus grande part des ventes (en 2000, 39% et 37% respectivement). Malgré ce déséquilibre, la part des produits de l'électronique grand public ainsi que celle du gros équipement electro-ménager sont en croissance. Les réseaux les plus dynamiques au sein du e-commerce sont les « click & mortar » dont les sites sont en large partie issus des chaînes spécialisées et multispécialisées. Leur part est passée de 41% en 1999 à 51% durant la première période de l'année 2000. Les eCommerçants ont donc intérêt à privilégier les produits spécialisés sur les internautes et à prendre en compte un possible plafonnement prochain du volume du eCommerce entre 5% et 10% du volume total de la vente de détail.
Le groupe GFK, spécialisé dans les étudesmarketing, a révélé les résultats de sa nouvelle étude consacrée au commerce électronique en Europe. Selon cette étude, la part du e-commerce a doublé en un an, mais ne représente que 2% du marché total des biens techniques et des contenus. En 1999, le chiffre d'affaires généré par les biens techniques (équipements et contenus) a représenté 141.4 milliards d'euros. Les ventes directes s'élèvent à 15.6 milliards d'euros (du fabricant à l'acquéreur final, via le web compris). 124.6 milliards d'euros sont issus des circuits traditionnels (« bricks & mortar »). La différence, soit 1.23 milliards d'euros, représente la valeur générée par l'e-commerce (« Clicks and mortar et purs e-players »). En 1999, la part du e-commerce était donc de 0.9% du chiffre d'affaires total. Sur les 4 premiers mois de l'année 2000, le paysage change rapidement, les ventes issues des click and mortars et des pure e-retailers atteignent 2% des ventes globales soit une part plus que doublée. Une analyse sectorielle révèle que les produits de la microinformatique et les supports du contenu (logiciels, musique, image...) acaparent la plus grande part des ventes (en 2000, 39% et 37% respectivement). Malgré ce déséquilibre, la part des produits de l'électronique grand public ainsi que celle du gros équipement electro-ménager sont en croissance. Les réseaux les plus dynamiques au sein du e-commerce sont les « click & mortar » dont les sites sont en large partie issus des chaînes spécialisées et multispécialisées. Leur part est passée de 41% en 1999 à 51% durant la première période de l'année 2000. Les eCommerçants ont donc intérêt à privilégier les produits spécialisés sur les internautes et à prendre en compte un possible plafonnement prochain du volume du eCommerce entre 5% et 10% du volume total de la vente de détail.
