Après avoir imité le MacBook Air avec le X-Slim X340, MSI perdure sur la trace d'Apple et s'inspire cette fois des MacBook Pro pour une nouvelle famille, la série Classic. Elle comprend effectivement des ordinateurs portables aux caractéristiques techniques proches déclinés en trois diagonales.
MSI CR400
L'un de ces nouveaux modèles revêt d'ailleurs une coque en métal usiné, abrite une déclinaison de la solution NVIDIA GeForce 9400M et s'articule autour d'un écran de 14 pouces à rétro-éclairage à LED pour un poids de 2 kg. Un air de déjà vu ? Ce MSI CR400 cache en outre un processeur Intel Core 2 Duo, jusqu'à 4 Go de mémoire vive DDR2 à 800 MHz, un disque dur de 250 à 500 Go et un graveur de DVD multi-format. La version allégée du chipset MCP79 est ici associée à une puce graphique GeForce 8200M, connectée à un écran 16:9 affichant une définition WXGA (1366×768 pixels).
Les MSI CR600 et CR700 de 16 et 17 pouces abandonnent quant à eux le métal pour une coque en plastique aux lignes anguleuses. Ils partagent l'essentiel de leurs caractéristiques techniques avec le premier modèle, et ne bénéficient guère que d'une sortie HDMI supplémentaire. Les dalles de 16 et 17 pouces sont toujours au ratio 16:9 et affichent respectivement une définition de 1366×768 pixels et de 1600×900 pixels, bien que ce dernier se contente d'un rétro-éclairage CCFL.
Deux déclinaisons baptisées MSI CX600 et CX700 sont également proposées. Elles sont identiques, à l'exception du chipset, un SiS 672DX associé à un SiS969, et de la carte graphique, une ATI Radeon HD 4330 épaulée par 512 Mo de mémoire dédiée.
MSI CR600 et CR700
On retrouve enfin sur toute la gamme une connectique réseau WiFi N et Gigabit Ethernet, du Bluetooth en option, une caméra de 1,3 millions de pixels, un lecteur de carte SD, 3 ports USB et une sortie VGA.
La date de commercialisation et le prix de vente conseillé de ces cinq ordinateurs portables n'a pour l'heure pas été révélé.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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