Test Lenovo Legion Go : une console portable PC qui pique tout à la Nintendo Switch ?

Nerces
Spécialiste Hardware et Gaming
15 février 2024 à 11h37
24
La Legion Go emprunte pas mal à la Switch © Lenovo
La Legion Go emprunte pas mal à la Switch © Lenovo

Difficile de se démarquer sur le marché déjà très encombré des consoles portables. Pour y parvenir, Lenovo a tout simplement copié l’un des maîtres en la matière : Nintendo. La Legion Go s’apparente effectivement à une Switch à laquelle on aurait greffé les entrailles de la ROG Ally d’ASUS. Mélange contre nature ou vraie bonne idée ?

Lenovo Legion GO
  • Contrôleurs détachables
  • Bon écran 8,8 pouces avec pied
  • Hautes performances
  • Deux ports USB4 type-C
  • Ludothèque Windows 11
  • Boîte de transport livrée
  • Encombrante et lourde
  • Encore des bugs logiciels
  • Ergonomie perfectible
  • Autonomie limitée
  • Ventilation vite bruyante

Fiche technique Lenovo Legion GO

Résumé

Processeur
AMD Ryzen Z1 Extreme Processor (3.3 GHz jusqu’à 5.1 GHz)
Processeur graphique
AMD Radeon 700M Series
Mémoire vive
16Go
Écran
LCD
Tactile
Oui
Taille de l'écran
8.8 pouces
Définition max
QHD - 2560 x 1600
Framerate max
144Hz

Performance

Processeur
AMD Ryzen Z1 Extreme Processor (3.3 GHz jusqu’à 5.1 GHz)
Processeur graphique
AMD Radeon 700M Series
Mémoire vive
16Go
Rétrocompatibilité
Oui

Affichage

Écran
LCD
Tactile
Oui
Taille de l'écran
8.8 pouces
Définition max
QHD - 2560 x 1600
Framerate max
144Hz

Connectique & stockage

Lecteur optique
Aucun
Support jeux
Dématérialisé
Mémoire interne
512Go
Mémoire extensible
Oui
Type d'extension de mémoire
Carte micro SD, SSD
Norme DisplayPort
DisplayPort 1.4
Norme USB
USB 4
Nombre de ports USB-C
2

Connectivité

Wi-Fi
Oui
Version Wi-Fi
6
Bluetooth
Oui
Version Bluetooth
5.2
Port ethernet
Non

Audio

Haut-parleurs intégrés
Stéréo
Sorties audio
Jack 3.5 mm

Alimentation

Type d'alimentation
Batterie
Capacité
6221 mAh

Caractéristiques physiques

Hauteur
131mm
Largeur
41mm
Longueur
299mm
Poids
854g

Informations générales

Système d'exploitation
Windows 11
Encombrante ou imposante, question de point de vue © Nerces pour Clubic
Encombrante ou imposante, question de point de vue © Nerces pour Clubic

Quand le PC s’inspire de la Switch

Jusqu’à présent, les consoles portables lancées depuis la sortie du Steam Deck ont presque toutes emprunté leur facteur de forme à la machine de Valve. Au premier coup d’œil posé sur la Legion Go, elle semble faire de même : la console est tout en longueur avec les contrôles de part et d’autre de l’écran. On tient la machine par les bords extérieurs et le tour est joué.

Lenovo Legion Go_03 © Nerces
Lenovo Legion Go_04 © Nerces

La boîte de transport et un tissu de nettoyage. Impeccable © Nerces pour Clubic

La Legion Go impose d’aller au-delà de cette première impression. Elle permet, comme sur la Switch, de faire glisser les contrôleurs afin d’avoir, entre les mains, deux espèces de joy-con pendant que le cœur de la console est posé sur un meuble avec sa béquille déployée afin qu’elle ne tombe pas. Ces contrôleurs, ils se nomment Legion TrueStrike et sont plus polyvalents que ceux de Nintendo.

Sans ses Legion TrueStrike, la console fait très tablette © Nerces pour Clubic
Sans ses Legion TrueStrike, la console fait très tablette © Nerces pour Clubic

En revanche, par rapport à la Switch, il n’est pas question de fournir de véritable station d’accueil ou de dock. La Legion Go est livrée avec une jolie sacoche de transport… et c’est à peu près tout. C’est d’autant plus regrettable qu’une société comme JSAUX (voir notre encadré) distribue déjà un dock parfaitement compatible avec la Legion Go pour la rapprocher un peu plus de la Switch.

Large écran et contrôleur « souris »

Cela dit, il ne faut pas s’imaginer avoir un produit aussi transportable que la console de Nintendo. La Legion Go est un appareil imposant, plus que toutes les autres consoles, à part peut-être l’AYANEO KUN. Ses 298 x 131 x 40 millimètres l’empêchent de se glisser dans une poche et ses 854 grammes sont loin des 400 g de la Switch. Cela dit, ses mensurations servent un point intéressant.

Lenovo Legion Go_06 © Nerces
Lenovo Legion Go_07 © Nerces

Détachés, les deux contrôleurs sont plus complets que les joy-con © Nerces pour Clubic

En effet, l’écran de la Legion Go est le plus grand jamais vu sur une portable avec ses 8,8 pouces de diagonale. Il s’agit hélas d’une dalle IPS – pas d’OLED comme sur le Steam Deck – laquelle tente de compenser avec une définition de 2 560 x 1 600 pixels et une fréquence de 144 Hz. Le rendu des couleurs est bon, mais attention, l’écran et très lumineux et les reflets s’invitent rapidement.

Au dos de la console – donc de l’écran – se trouve la béquille qui permet de faire tenir la machine sur une table. En décrochant les contrôleurs, on se retrouve presque avec un mini-PC, ne reste plus qu’à brancher clavier et souris. Pour le clavier, Lenovo n’a rien prévu, en revanche, le contrôleur de droite peut se tenir à la verticale, maintenu dans une espèce de socle : il fait alors office de « souris ».

La molette permet l'utilisation « souris » © Nerces pour Clubic
La molette permet l'utilisation « souris » © Nerces pour Clubic

Soyons clairs, il ne faut pas envisager la chose sur le long terme tant le contrôleur tenu à la verticale n’est ni pratique ni confortable. En revanche, en solution de dépannage, c’est assez bien vu. Lenovo n’a d’ailleurs négligé aucun aspect puisque contrairement à Valve ou ASUS, la marque a intégré deux ports USB-C : un sur la tranche supérieure, l’autre sur la tranche inférieure.

Lenovo Legion Go_09 © Nerces
Lenovo Legion Go_10 © Nerces

Avant et après l'ouverture de la béquille de maintien © Nerces pour Clubic

Connectique et contrôleurs

Les deux ports USB-C sont à la norme 4.0 afin de couvrir à peu près tous les usages sans passer par un connecteur propriétaire comme ASUS. C’est une excellente idée, car cela permet de gérer l’affichage sur un écran externe ou l’alimentation de la machine peu importe sa position. C’est un vrai plus par rapport aux deux consoles les plus populaires, le Steam Deck et la ROG Ally.

Toute la connectique de la machine © Lenovo
Toute la connectique de la machine © Lenovo

Un peu moins pratique d’accès, le lecteur de cartes microSD est au menu : toujours pratique pour augmenter la capacité de stockage, mais nous y reviendrons. Elle n’est pas la seule dans ce cas, mais nous remercions tout de même Lenovo pour l’intégration d’une prise jack 3,5 mm, laquelle est un combo audio, et soulignons la présence de deux micros intégrés à la machine.

Lenovo Legion Go_12 © Nerces
Lenovo Legion Go_13 © Nerces

Croix passable et des boutons qui gênent : l'ergonomie est perfectible © Nerces pour Clubic

Lorsqu’elles ne sont pas détachées de la machine, les Legion TrueStrike ressemblent à s’y méprendre aux classiques contrôleurs des autres consoles. Sticks et boutons sont placés à peu près pareil, mais il n’est pas question d’effet hall comme chez AYANEO. De plus, la tranche du contrôleur droit intègre deux boutons un peu gênants : ils servent en réalité en mode souris.

Le point sur les différentes commandes © Lenovo
Le point sur les différentes commandes © Lenovo

Ce même contrôleur dispose d’une petite molette bien dissimulée : elle ne gêne pas en mode normal et prend tout son sens en mode souris. Pour le reste, notons que les sticks sont confortables, mais que la croix est loupée : trop enfoncée et pas assez souple, elle n’est pas très agréable. En revanche, le petit pad tactile façon Steam Deck est fort bien vu et très pratique.

Lenovo Legion Go_15 © Nerces
Lenovo Legion Go_16 © Nerces

Le touchpad est une bonne idée © Nerces pour Clubic

Un clone de Switch, mais sans dock officiel ?

La silhouette très « Switch » de la Legion Go est une évidence. Même si les deux produits ne boxent finalement pas dans la même catégorie, il est évident que Lenovo s'est inspirée de Nintendo.

Le dock JSAUX est parfaitement compatible avec la Legion Go © Nerces pour Clubic
Le dock JSAUX est parfaitement compatible avec la Legion Go © Nerces pour Clubic

Pourtant, et nous n'avons pas eu le fin mot de l'histoire, aucune station d'accueil n'est officiellement prévue. Heureusement, la firme JSAUX spécialisée dans les accessoires a sa propre solution.

La riche connectique du dock HB1201S © JSAUX
La riche connectique du dock HB1201S © JSAUX

Son HB1201S reçoit la Legion Go et en démultiplie les possibilités : ports USB pour les manettes, recharge USB-C, port HDMI pour la télévision et même un port RJ45 pour le réseau filaire. Merci JSAUX, mais dommage d'avoir le surcoût à gérer.

Nous n'avons rencontré aucun problème à l'usage © Nerces pour Clubic
Nous n'avons rencontré aucun problème à l'usage © Nerces pour Clubic

L’AMD Z1 Extreme pour animer la bête

Venons-en à une partie plus technique en ouvrant au propre comme au figuré la Legion Go. En son cœur, c’est la puce Z1 Extreme signée AMD que l’on retrouve, c’est la même que sur la première ROG Ally, le modèle le plus puissant. Il s’agit d’un processeur doté de 8 cœurs Zen 4 jusqu’à 5,1 GHz pour la partie CPU et de 12 unités de calcul RDNA 3 jusqu’à 2,7 GHz pour la partie GPU.

Lenovo fait à son tour confiance à AMD pour sa machine © Lenovo
Lenovo fait à son tour confiance à AMD pour sa machine © Lenovo

Le Z1 Extreme est épaulé par 16 Go de LPDDR5-6400, une capacité qui reste immuable, et sur notre version d’un SSD de 512 Go. Pour ce dernier, il est possible d’opter pour un modèle 1 To, mais nous soulignerons surtout que ce SSD est un NVMe au format 2242 : il y aura donc un peu plus de choix que sur les Steam Deck et ROG Ally pour le remplacer.

Lenovo Legion Go_18 © Nerces
Lenovo Legion Go_19 © Nerces
Lenovo Legion Go_20 © Nerces

L'ouverture de la Legion Go est simple et l'accès au SSD correct © Nerces pour Clubic

Pas grand-chose à souligner de plus côté composants, si ce n’est la présence d’un contrôleur réseau offrant le Wi-Fi 6E et le Bluetooth 5.1. Une dernière chose, Lenovo a opté pour une batterie un peu plus puissante que celle de la concurrence, à savoir de 49,2 Wh. Elle ne permet évidemment pas de jouer bien longtemps aux titres les plus lourds même si tout dépend ici du mode de puissance retenu.

Le Ryzen Z1 Extreme est en bonne place © Lenovo
Le Ryzen Z1 Extreme est en bonne place © Lenovo

Là, Lenovo a opté pour trois modes de fonctionnement selon que l’on opte pour le profil silence, équilibre ou performance. Le premier semble limiter le TDP du Z1 Extreme autour de 8 watts, tandis que le second le passe à 15 W et le troisième à 20 W. Ce dernier ne permet pas 90 minutes d’autonomie sur Cyberpunk 2077 alors qu’en « silence », on peut dépasser les trois heures.

Lenovo Legion Go_22 © Nerces
Lenovo Legion Go_23 © Nerces
Lenovo Legion Go_24 © Nerces

HWiNFO et CPU-Z font le point sur la configuration © Nerces pour Clubic

Des logiciels encore à parfaire

À la manière d’ASUS, Lenovo a retenu le système d’exploitation de Microsoft. Windows 11 est préinstallé. Les habitués de SteamOS seront forcément un peu déçus, mais il n’y a pas grand-chose à faire en l’état et on ne peut nier l’un des atouts de Windows : un catalogue particulièrement riche autant du point de vue des applicatifs que, bien sûr, des jeux vidéo.

Legion Space n'est pas au niveau du Big Picture de Steam © Nerces pour Clubic
Legion Space n'est pas au niveau du Big Picture de Steam © Nerces pour Clubic

Windows 11 est préinstallé et, au premier démarrage de la console, il ne reste que quelques manipulations pour avoir un système parfaitement fonctionnel. Comme ASUS ou AYANEO, Lenovo a décidé de créer une surcouche logicielle pour rendre les manipulations plus simples. Hélas, et peut-être encore un peu plus que les solutions concurrentes, Legion Space est bancale.

Lenovo Legion Go_26 © Nerces
Lenovo Legion Go_27 © Nerces

Un accès Gamesplanet.com sans grand intérêt © Nerces pour Clubic

Sur le principe, les choses fonctionnent, mais il faut jouer avec les menus et sous-menus pour la moindre action et Lenovo a opté pour d’étranges réglages comme cet UMA Buffer calé sur 3 Go : cela pourra bloquer le chargement de certains gros jeux. Depuis le BIOS, il est possible de passer à 4, 6 ou 8 Go, mais ce n’est pas très user-friendly. De plus, l'interface de raccourcis est passablement bugguée : ses réglages semblent parfois inefficaces et l'utiliser alors que l'on est en jeu provoque un conflit dans les contrôles.

L'accès au BIOS pour ajuster l'UMA Buffer © Nerces pour Clubic
L'accès au BIOS pour ajuster l'UMA Buffer © Nerces pour Clubic

Comme sur les consoles Windows, reconnaissons que le clavier virtuel ou l’utilisation de la souris ne sont pas des plus pratiques même si le trackpad dépanne bien. Notons enfin qu’à la manière d’ASUS, Lenovo semble prendre le suivi de sa console au sérieux : plusieurs mises à jour du BIOS ont déjà été déployées et Legion Space a aussi bien progressé avec, par exemple, la récente option d’inversion des touches start et select demandée par la communauté.

Lenovo Legion Go_29 © Nerces
Lenovo Legion Go_30 © Nerces
Lenovo Legion Go_31 © Nerces

L'interface d'accès rapide est encore pleine de bus © Nerces pour Clubic

Qu’en attendre côté performances ?

L'aspect performances devrait être la section la moins surprenante de notre test puisque la Legion Go repose sur le même processeur et presque la même mémoire que la ROG Ally. Nous avons débuté par un rapide test RAM avec AIDA64 et des mesures sur CrystalDiskMark et Cinebench R23 pour vérifier la vélocité du SSD et la puissance de calcul du Z1 Extreme.

Lenovo Legion Go_32 © Nerces
Lenovo Legion Go_33 © Nerces
Lenovo Legion Go_34

AIDA64, CrystalDiskMark et Cinebench R23 : de bonnes performances © Nerces pour Clubic

Sur la DDR5, la latence est toujours élevée, mais nous n’avions jamais relevé un score aussi mauvais. Heureusement, les débits sont dans la norme et le SSD offre des performances plus que correctes (4,88 Go/s en lecture et 3,63 Go/s en écriture). De plus, la puissance du Z1 Extreme est au moins aussi convaincante que sur la ROG Ally.

Performances mesurées en images par seconde © Nerces pour Clubic
Performances mesurées en images par seconde © Nerces pour Clubic
Lenovo Legion Go_36 © Nerces
Lenovo Legion Go_37 © Nerces

Côte à côte, Cyberpunk 2077 et Shadow of the Tomb Raider © Nerces pour Clubic

Afin de ne pas surcharger le test, nous embrayons sur le jeu vidéo que nous limitons à deux habitués, Cyberpunk 2077: Phantom Liberty et Shadow of the Tomb Raider. Dans un cas comme dans l’autre – alors que les consoles sont limitées à 25 watts – la Legion Go fait un peu mieux que la plus puissante des deux ROG Ally. Pas de quoi pavoiser, mais Lenovo place sa machine dans le haut du panier.

Autonomie mesurée en minutes © Nerces pour Clubic
Autonomie mesurée en minutes © Nerces pour Clubic

Nous enchaînons avec un test peut-être encore plus important, celui de l’autonomie. Lenovo a pris le parti d’une batterie plus grosse que celle d’ASUS et cela paie. La Legion Go fait ainsi mieux que la ROG Ally d’une poignée de minutes. Est-ce suffisant pour parler de bonne autonomie ? Hélas, non d’autant que Valve avec son Steam Deck OLED a montré que l’on pouvait faire bien mieux.

Malgré les annonces de Lenovo, la ventilation n'est pas idéale © Lenovo
Malgré les annonces de Lenovo, la ventilation n'est pas idéale © Lenovo

Avant de conclure, deux remarques. Tout d’abord, capricieux, le logiciel de la Legion Go ne permet pas d’ajuster précisément le TDP : les options sont là, mais difficile de voir les effets de ces réglages. De plus, le ventilateur a vite tendance à monter dans les tours : même en 15 watts, il peut déranger l’entourage. Au moins, il a le mérite de maintenir la bête – et nos mains – au frais.

Lenovo Legion Go : l’avis de Clubic

7

Alors que les consoles portables sorties depuis le Steam Deck de Valve donnent l’impression de se ressembler, impossible de nier les efforts de Lenovo. Certes, la marque n’innove en réalité pas tant que ça, mais en empruntant beaucoup à la Switch de Nintendo, elle aboutit à un hybride de console et de PC intéressant.

Dommage qu’aucun dock ne soit de la partie, mais la possibilité de décrocher les contrôleurs et de poser l’écran à la verticale avec sa béquille est bien pratique. La présence d’un touchpad et la possibilité d’utiliser le contrôleur de droite comme une vraie-fausse souris sont des plus intéressantes et, bien sûr, l’imposant écran de 8,8 pouces fait son petit effet.

Pour ne rien gâcher, la Legion Go est une machine puissante qui parvient à garder une certaine autonomie. Hélas, Lenovo se loupe dans la gestion du ventilateur – trop bruyant – et manque le coche sur l’aspect logiciel. L’interface, en nets progrès depuis la sortie de la machine, est encore truffée de bugs divers. Un premier essai prometteur, mais pas totalement satisfaisant.

Les plus

  • Contrôleurs détachables
  • Bon écran 8,8 pouces avec pied
  • Hautes performances
  • Deux ports USB4 type-C
  • Ludothèque Windows 11
  • Boîte de transport livrée

Les moins

  • Encombrante et lourde
  • Encore des bugs logiciels
  • Ergonomie perfectible
  • Autonomie limitée
  • Ventilation vite bruyante
Amazon 799,99€ Voir l'offre
E.Leclerc 799€ Voir l'offre
Fnac 799,99€ Voir l'offre
Boulanger 799,99€ Voir l'offre
Cdiscount 799,99€ Voir l'offre
Voir plus d'offres
Amazon 799,99€ Voir l'offre
E.Leclerc 799€ Voir l'offre
Fnac 799,99€ Voir l'offre
Boulanger 799,99€ Voir l'offre
Cdiscount 799,99€ Voir l'offre
Voir plus d'offres

Nerces

Spécialiste Hardware et Gaming

Spécialiste Hardware et Gaming

Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les év...

Lire d'autres articles

Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.

Lire d'autres articles
Cet article contient des liens d'affiliation, ce qui signifie qu'une commission peut être reversée à Clubic. Les prix mentionnés ainsi que les marchands mis en avant sont susceptibles d'évoluer afin de toujours vous proposer le meilleur prix sur le produit concerné. 
Lire la charte de confiance
Vous êtes un utilisateur de Google Actualités ou de WhatsApp ? Suivez-nous pour ne rien rater de l'actu tech !
google-news
Rejoignez la communauté Clubic S'inscrire

Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur expertise quotidiennement.

S'inscrire

Commentaires (24)

Nereus
Je ne vois toujours pas l’intérêt de jouer sur une pseudo Switch à des jeux fais pour tourner sur pc, avec écran et souris.
freechelmi
Comment la Steam Deck OLED explose les consoles sous W11 , ça fait plaisir.
freechelmi
Essaie la steam deck , tu va vite comprendre
Orko
Belle bête, c’est clairement pompé sur la Switch, mais elle fait moins jouet que cette dernière, le tout en noir je trouve ça classe.
ayaredone
Le confort ! Depuis que j’ai la Rog Ally, je ne joue plus avec le fixe (qui a une 3090 pourtant, donc un peu plus puissant )<br /> Évidemment si on ne jure que par le souris, c’est mort
Blap
Admin:<br /> Soyons clairs, il ne faut pas envisager la chose sur le long terme tant le contrôleur tenu à la verticale n’est ni pratique ni confortable.<br /> Ce commentaire vient il de quelqu’un habitué aux souris verticales ? Parce que si c’est la première fois, c’est normal<br /> Nereus:<br /> Je ne vois toujours pas l’intérêt de jouer sur une pseudo Switch à des jeux fais pour tourner sur pc, avec écran et souris.<br /> Tous les jeux PC ne sont pas fait pour la souris. L’intérêt c’est de pouvoir jouer où on veut, chez soit ou ailleurs. Pour d’autre c’est d’avoir une machine dédié à ça comme une console. En tout cas il suffit d’avoir testé la switch pour comprendre<br /> PS : D’autant plus que tu peux le brancher a un ecran, un clavier et une souris et ca te fait les memes conditions qu’un PC
dredd
Moi nonn plus. Les potentiels acheteurs non plus d’ailleurs et c’est pour ca que personne ne le fait.<br /> Croire qu’il n’y a que des CRPG isométriques ou des trucs de gestions à menus déroulants sur PC donne à penser que quelqu’un a dormi ces 25 ou 30 dernières années.
Pernel
C’est un PC, et beaucoup de jeux sont très bien sur petit écran. Pouvoir faire un GTA, Forza, ou les récents TR Remake pendant qu’on drop un numéro 2, ça n’a pas de prix. Après c’est clair que faire un CS ou un RTS dessus c’est du suicide, c’est largement faisable, mais c’est pas agréable. Mais un Rocket League, un South Park, un jeu PS3, un jeu … Switch, c’est sympa aussi dans le lit ou sur le balcon/jardin.
brice_wernet
Jouant depuis plusieurs années uniquement sur iGPU, je suis content de voir ces produits arriver.<br /> Ca me fait toutefois sourire ce type de produit: pendant 6 ans des gens autour de moi ont critiqué la faiblesse de la switch, sa résolution, son inutilité même à cause de l’autonomie réduite. Et maintenant certains qui ont un ordi gamers bavent sur ces produits qui: atteignent difficilement les 60Hz, ont une autonomie très limitée, sont très lourds, ont une résolution limitée…<br /> En fait, je trouve qu’ils légitiment la sortie de la switch 2. Enfin, en espérant que NVidia s’en sorte sur le segment du low TDP, car AMD et Intel ont mis la barre plutôt haute!
Nereus
Hello, tu peux me dire stp à quels jeux tu joue sur ta portable ? C’est intéressant d’avoir l’avis de vrais utilisateurs
Nerces
Je ne suis pas un expert des souris verticales, mais j’en ai testé pas mal. Là, le souci ce n’est pas tant les mouvements que vraiment le confort de prise en main : le contrôleur à la verticale, ce n’est vraiment pas du tout aussi agréable à tenir qu’une souris verticale
Pernel
Intel n’a pas vraiment mis la barre haut, ils arrivent à peine à s’approcher d’AMD. Et sur la prochaine Nintendo, ça sera encore du ARM, donc niveau conso ça devrait le faire ^^ Très probablement un Orin NX version 8Go, peu de chance que ce soir un Thor (devrait être prêt en 2025 mais on ignore presque tout de ce SOC pour l’instant. Donc pour ma part, je mise sur un Orin NX, avec de la chance en 16Go, mais je vois plus la version 8 (6 core sur la version 8Go et 8 sur la 16, ainsi qu’un boost GPU sur la 16, et donc un plus gros TDP, pour ça que je parie sur la 8Go).
ayaredone
J’ai fait de mémoire Starfield (tourne bien sauf dans les grandes villes où c’est juste), Baldur 3 (tourne bien mais juste en extérieur à l’acte 3), AC mirage (tourne très bien), Dead Island 2 (tourne extrêmement bien) et là je fais Alan Wake 2 (tourne très correctement, un peu juste en extérieur)<br /> Je joue en général en 720/900, moyen et je cible les 45 fps en FSR2 et jamais dessous de 30 (ce que je nomme « un peu juste »). Cela peut paraître peu mais sur un écran de 7 pouces et VRR, avec une bonne dose d’accentuation de l’image c’est vraiment très agréable !<br /> Sachant que sur PC fixe j’ai toujours eu « la plus grosse » car mon minimum était toujours 1080, RT ultra en 60 fps minimum
freechelmi
On ne peux pas comparer la switch et son écosystème ultra fermé et limité avec un PC console portable.<br /> Sur la Steam deck on peux tout faire tourner et ça fait un PC transportable puissant pour un étudiant par exemple
dante0891
Pouvons-nous changer l’OS ?<br /> Mettre un Batocera/Recallbox dessus ? (certes un peu cher pour cette utilisation).<br /> Ca donne envie en dehors du prix , même si j’aimerais bien voir plus de bench dessus avec des gros jeux ^^<br /> Surtout quand je vois CP2077 à +50FPS ça donne déjà une bonne indication même si ça doit être paramétré en graphisme steam deck.
Nerces
Changer l’OS, il faudrait avoir les pilotes <br /> Batocera et Recalbox : oui, sans problème, la Legion Go est un «&nbsp;bête&nbsp;» PC.<br /> Plus de benchs : je comprends la demande, mais on essaie aussi de faire synthétique. Pas facile de ménager la chèvre et le chou.
anpiau
Alan Wake 2 c’est vraiment le jeu a ne pas faire dessus, (j’ai une ROG Ally) mais Alan Wake 2 je l’ai fais sur le PC Fixe dans les meilleures conditions (34" Wide) graphismes en FULL. C’est une autre expérience. La ROG je m’en sers en déplacement, pour continuer mes jeux, les jeux avec la synchro de sauvegarde c’est cool.
brice_wernet
Intel dépasse régulièrement AMD et d’une bonne marge. Leur nouvelle technique de prédiction de trame est prometteuse. Franchement, discrètement ils sont présent niveau igpu.<br /> Pour la conso, les chip NVIDIA misent sur la partie graphique/gpgpu, leur partie arm est en retrait niveau perfs depuis … Toujours…<br /> Donc la conso n’est pas liée à la partie cpu (arm) mais à la partie graphique (constructeur)
Pernel
Non, ça fait des années qu’Intel n’arrive pas au niveau d’AMD, surtout dans le mobile. Et leur partie iGPU, bien qu’en nette amélioration, est encore très loin derrière.<br /> brice_wernet:<br /> Pour la conso, les chip NVIDIA misent sur la partie graphique/gpgpu, leur partie arm est en retrait niveau perfs depuis … Toujours…<br /> Donc la conso n’est pas liée à la partie cpu (arm) mais à la partie graphique (constructeur)<br /> Ouais enfin j’ai jamais dit le contraire …
ayaredone
Là où cette console rate le coche et l’excellente occasion de se démarquer de l’Asus, c’est qu’ils auraient dû mettre au moins 24 GO de RAM, pour faire 16+8 ou 14+10.<br /> 16 GO c’est limitant pour la mémoire graphique, ce qui peut entrainer des micro-saccades quand on joue si on n’a pas alloué assez de mémoire au GPU.
brice_wernet
Citation<br /> Non, ça fait des années qu’Intel n’arrive pas au niveau d’AMD, surtout dans le mobile<br /> Justement si, ça fait des années que Intel talonne AMD avec les XE avec quelques victoires. Avec les derniers modèles, c’est bien les RDNA2/3 qui sont rattrapés et parfois dépassés. Intel Core Ultra 7 155H iGPU Outperforms AMD Radeon 780M, Comes Close to Desktop Intel Arc A380 | TechPowerUp<br /> On est dans un mouchoir de poche niveau perfs, les deux sont donc très bons. Avantage AMD pour la conso. Avantage Intel (pour une fois) pour l’accès mémoire (moins de saccades - plus régulier)
brice_wernet
Citation<br /> 16 GO c’est limitant pour la mémoire graphique, ce qui peut entrainer des micro-saccades quand on joue si on n’a pas alloué assez de mémoire au GPU.<br /> C’est de l’iGPU. La mémoire est partagée: on n’envoie pas forcément les textures à la carte graphique, on peut les utiliser depuis la RAM. Les micro-saccades, c’est surtout lié au cache
Pernel
Un bench ne représente pas la vie réelle, surtout s’ils sont devant sur un seul bench…<br /> Tiens, un vrai test, en bench Intel est devant, mais dans le monde réel, ils sont à la traîne en perf/conso, et pas qu’un peu…<br /> Notebookcheck<br /> Test d'Intel Meteor Lake : le Core Ultra 7 155H ne convainc que par ses...<br /> Notebookcheck analyse et passe en revue le nouveau Intel Core Ultra 7 155H (Meteor Lake-H) avec GPU Intel Arc à 8 cœurs et Test des neuen Intel Core Ultra 7 155H (Meteor Lake-H) mit Intel Arc GPU.<br /> Et comme aucun constructeur sera assez c*n pour faire tourner sa console/PC à 45W … donc AMD est clairement devant.
Aatlass57
Jouer à des jeux indés sur le canap, c’est quand même vachement cool, exemple Dave the Divers, balatro, Hades, etc… depuis que j’ai la ROG ally, je n’arrive plus à poser mon cul devant le pc pour jouer.
Voir tous les messages sur le forum
Haut de page

Les derniers tests

Consoles de jeux : tous les derniers tests