Acer a annoncé hier le « K130 », son nouveau « vidéoprojecteur de voyage », qui offre un compromis entre son picoprojecteur C110 et son vidéoprojecteur conventionnel K330, tant en terme d'encombrement que de prestations.
Le nouvel « Acer K130 » mesure effectivement 140 x 116 x 41 mm pour 430 g, contre respectivement 110 x 85 x 25 mm pour 175 g et 218 x 168 x 46,5 pour 1240 g.
Il adopte à son tour le procédé DLP associé à une LED, projetant en l'occurrence une définition bureautique WXGA (1280 x 800 pixels) avec une luminosité de 300 lumens et un taux de contraste dynamique (et donc peu représentatif) de 10 000:1. Le fonctionnement stroboscopique du DLP lui permet de projeter facilement à 120 Hz et donc de prendre en charge la 3D active, avec des lunettes optionnelles.
Il accepte également une grande variété de sources, à commencer par les classiques entrées vidéo HDMI (jusqu'en 1080p), VGA (au travers d'un adaptateur fourni) et composite. Mais il peut également être connecté à un ordinateur ou à un smartphone en USB, à l'aide d'un câble ou d'un adaptateur Wi-Fi optionnel. Il embarque enfin un lecteur multimédia autonome, décodant toutes sortes de fichiers depuis sa mémoire interne de 2 Go, son emplacement microSD, ou un support de stockage USB.
Aucun prix ni aucune date n'ont été communiqués pour la France, mais on sait malgré tout qu'il y sera commercialisé. Son prix public aux États-Unis, 600 dollars (environ 550 euros), permet malgré tout de se faire un ordre d'idée.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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