Publié hier soir, « Instagram 3.0 » est une mise à jour majeure de la célèbre application pour terminaux Android et iOS. Elle met l'accent sur la navigation, au travers d'améliorations mais aussi d'une nouvelle fonctionnalité : la géolocalisation.
Une carte photo à l'intérêt limité
La nouvelle version inaugure donc une « carte photo », permettant d'afficher l'emplacement duquel ont été prises les photos d'un utilisateur à la fois. Ces cartes ne sont effectivement accessibles que depuis les profils, il n'est donc pas possible d'afficher une carte mêlant les photos de tous ses abonnements, ni d'afficher des photos publiques prises à proximité.
La quasi-totalité des photos d'un utilisateur étant géolocalisées, au travers du GPS ou à défaut des réseaux Wi-Fi environnant, les utilisateurs sont invités à rendre public leurs emplacements au premier lancement de cette 3e version. Ils peuvent et pourront gérer cet aspect pour l'ensemble de leur bibliothèque ou pour chaque photo.
Le processus de publication sur la carte est bien encadré.
Refontes et optimisations diverses
Instagram 3.0 revoit au passage l'apparence des profils des utilisateurs, des pages lieu, des pages hashtag et de l'onglet explorer, qui affichent désormais des photos plus grandes, des boutons plus gros, et chargent automatiquement les photos suivantes pour un défilement illimité. La page d'envoi de photo a elle aussi été modernisée.
Cette nouvelle version apporte enfin, comme d'habitude, sont lot d'optimisations des performances.
Il est intéressant de noter que cette mise à jour majeure, la première depuis que l'application est éditée par Facebook, n'apporte aucune fonctionnalité liée au réseau social et qu'elle continue sur sa lancée, alors qu'on peut craindre que ce rapprochement ne déteigne sur Instagram.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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