TeamViewer prépare activement la nouvelle version de son logiciel d'assistance et de collaboration en ligne. La publication hier d'une première version préliminaire de « TeamViewer 6 » est l'occasion idéale pour faire le point sur les apports de cette mise à jour majeure.
Au premier abord et pour la majorité des utilisateurs (100 millions d'installations revendiquées dans le monde), cette sixième version bénéficie pour commencer d'une interface remaniée remise au goût du jour. Comme chaque logiciel mis à jour, « TeamViewer 6 » promet naturellement des performances améliorées, sans plus de précision. À vérifier, donc.
TeamViewer présente pour rappel l'intérêt de fonctionner automatiquement derrière un routeur ou un pare-feu. Son installation est donc à la portée du premier venu. Le petit génie de l'informatique d'une bande d'amis ou d'une famille (il y en a toujours un, n'est-ce pas ?) peut donc assister un proche de chez lui en un tour de main.
Lancez un simple exécutable et faites vous assister
Le module « QuickSupport » simplifie encore la donne, puisqu'il se présente sous la forme d'un petit fichier exécutable qui ne requiert aucune installation. Celui-ci peut désormais se signaler automatiquement à un partenaire préconfiguré, ce fameux petit génie de l'informatique qui pourra dès lors prendre le contrôle à distance de l'ordinateur en un double-clic. La personne en quête d'assistance devait jusqu'à présent transmettre lui-même les coordonnées à son partenaire.
Un nouveau module baptisé « QuickJoin », qui propose la démarche inverse, fait quant à lui son apparition. Celui-ci permet à de multiples spectateurs d'automatiser la connexion avec un présentateur, qui pourra partager son écran en quelques clics, pour faire une démonstration ou dispenser un cours par exemple.
« TeamViewer 6 » bêta est disponible dès à présent depuis son site Internet. La préparation d'un module personnalisé se fait depuis cette page. L'application pour iPhone et iPad a enfin déjà été mise à jour pour prendre en charge ces nouveautés.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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