Les projets d'imprimantes 3D ont fleuri sur les plateformes de financement participatif. Mais celui initié par David Jones et Michael Armani a visiblement séduit. Il faut dire que la promesse est alléchante : un outil très simple d'utilisation, mais surtout commercialisé à moins de 300 dollars.
Conséquence : l'objectif de levée de fonds de 50 000 dollars a été atteint en seulement 11 minutes, et à l'heure où nous écrivons ces lignes, 7 251 contributeurs ont apporté un financement supérieur à 2 millions de dollars !
Présente au salon 3D Print Show à New York, cette imprimante particulièrement compacte (un cube de 18 cm de côté) utilise un fil ABS (à base de pétrole) ou PLA (d'origine végétale) et dépose des couches dont l'épaisseur varie de 50 à 350 microns, avec une précision de 15 microns. Elle prend en charge les fichiers aux formats STL, OBJ, XYZ.
Si les prétentions de cette imprimante sont sans nul doute modestes, ce projet montre en tous les cas l'intérêt des consommateurs en matière d'impression 3D à domicile.
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Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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