C'est maintenant au tour d'Archos de lancer un casque de réalité virtuelle. Les Archos VR Glasses sont des lunettes à très bas prix, attendues au tarif de 30 euros.
Après Sony, Samsung et cette semaine le spécialiste de l'optique Zeiss, c'est maintenant au tour d'Archos de surfer sur la vague Oculus VR, la société rachetée 2 milliards de dollars par Facebook à laquelle on doit le renouveau de la réalité virtuelle. Fidèle à lui-même, Archos mise sur le low cost et annonce donc le lancement d'un casque au prix plancher de 30 euros.
13,4 x 10,7 x 6,8 cm pour 162 g
C'est le premier prix derrière le casque en carton Google Cardboard, qu'on peut imprimer et fabriquer soi-même ou qu'on peut acheter pour quelques euros. C'est que les Archos VR Glasses sont d'une certaine manière une version manufacturée du casque Google Cardboard.
C'est du moins ainsi que le concepteur chinois du produit le présente. Comme souvent, Archos se contente effectivement d'apposer sa marque sur un produit existant et de le distribuer. Il faut d'ailleurs se tourner vers le casque ColorCross-1 pour obtenir des détails, puisque la marque française n'en communique pas.
Les Archos VR Glasses sont donc des lunettes totalement passives, contrairement au Samsung Gear VR qui intègre ses propres capteurs de mouvements. Elles disposent de volets ajustables qui leurs permettent d'accueillir n'importe quel smartphone de 3,5 à 6 pouces (jusqu'à 16,5 x 8,5 cm). C'est ce dernier qui affiche les contenus en relief et répercute les mouvements, c'est donc de ce dernier que dépend la qualité d'affichage. Une définition 720p est un minimum, du 1080p ou plus étant recommandé.
Naturellement pour ce prix les deux lentilles, de 30 mm de diamètre, sont en plastique (résine synthétique ou acrylique), et non en verre.
Les Archos VR Glasses seront disponibles en France en novembre 2014, au prix public de 30 euros. Les plus pressés pourront donc se tourner vers les ColorCross-1, disponibles depuis le mois d'août sureBay pour une trentaine de dollars.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
Rejoignez la communauté des passionnés de nouvelles technologies. Venez partager votre
passion et débattre de l’actualité avec nos membres qui s’entraident et partagent leur
expertise quotidiennement.
