Le LG G3 Beat ou LG G3 s est la dernière déclinaison en date d'un smartphone haut de gamme. Comme beaucoup de ses prédécesseurs, il choisit la voie de la descente en gamme et non du simple rétrécissement.
C'est aujourd'hui au tour de LG de présenter la déclinaison de son dernier smartphone emblématique. Le nouveau LG G3 s est une variante économique du LG G3, comme peuvent l'être les Samsung Galaxy S5 Mini et HTC One Mini 2, mais en aucun cas une variante compacte, comme l'est le Sony Xperia Z1 Compact.
137,7 x 69,6 x 10,3 mm pour 134 g
Le G3 small passe à 5 pouces et à la HD
Et pour cause : le LG G3 est si grand, avec son écran de 5,5 pouces, que sa déclinaison l'est elle aussi, même en retombant à 5 pouces et en maintenant un cadre fin. Le ratio ne passe que de 76,4 à 74,1% de la surface avant, et reste dans le haut du classement.
C'est néanmoins sur l'écran que le G3 s fait sa plus grande concession, en se contentant d'une dalle IPS HD (1280 x 720 pixels soit 294 pixels-par-pouce), tout à fait honorable mais quatre fois moins définie que celle du G3.
Un milieu de gamme avec un autofocus laser
Ce smartphone milieu de gamme s'accommode par ailleurs d'une puce Qualcomm Snapdragon 400 à quatre cœurs à 1,2 GHz, de 1 Go de mémoire vive, de 8 Go de mémoire interne, heureusement extensible par microSD, et d'un capteur dorsal de 8 millions de pixels.
Il hérite malgré tout de l'autofocus laser, l'un des principaux points distinctifs et l'une des réussites de son aîné, ainsi que de sa conception « Floating Arc Design » toute en douceur et de son « expérience utilisateur » aboutie.
Il dispose enfin de connectivités 4G LTE, Wi-Fi N, Bluetooth 4.0 et NFC, d'un capteur frontal à 1,3 million de pixels et d'une batterie amovible de 2 540 mAh.
Le LG G3 s sera mis en vente dès le 18 juillet en Corée-du-Sud, sous l'appellation LG G3 Beat, puis en Europe dans la foulée. Son prix n'est malheureusement pas encore communiqué.
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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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