Garmin se lance, lui aussi, sur le marché plus que jamais encombré du bracelet connecté, avec un produit baptisé vivofit.
Le Garmin vivofit est un énième bracelet connecté à capteur d'activité, mesurant le nombre de pas, les distances parcourues, analysant le sommeil et alertant en cas d'inactivité prolongée. Pour se distinguer de ses innombrables concurrents, il a néanmoins quelques arguments intéressants.
Il dispose pour commencer d'un écran, probablement à encre électronique (E Ink ou assimilé), constamment actif, à défaut d'être rétro-éclairé. Contrairement à ce qui se fait sur de nombreux autres bracelets, il n'est donc pas nécessaire de presser un bouton pour obtenir l'heure ou jeter un œil à ses statistiques.
Et malgré cela, il revendique une autonomie supérieure à un an. Garmin emploierait pour ce faire un capteur de mouvement et des algorithmes de mesure particulièrement économes en énergie. Étanche jusqu'à 50 m, l'appareil peut donc être porté sans discontinuer, du jour à la nuit en passant par les douches.
Pour économiser les réserves de ses piles bouton, le Garmin vivofit est plus autonome que d'autres bracelets connectés. Même s'il peut se connecter à un smartphone via Bluetooth Low Energy, il détermine ainsi lui-même un objectif réaliste pour chaque journée, ce qui évite de le synchroniser quotidiennement.
Le Garmin vivofit sera lancée en France et en Europe au cours du premier trimestre 2014, où il sera vendu 120 euros sans ceinture cardio-fréquencemètre ANT+, 150 euros avec.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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