Alors qu'une vague d'attaques de la MPAA déferle en Europe contre le réseau BitTorrent et ses trackers (voir cette brève), un très célèbre site qui propose des liens BitTorrent prépare une contre-offensive. Ce site travaille actuellement sur une nouvelle version du client et du protocole BitTorrent. Ce projet est connu sous le nom d'Exeem, il permettra de décentraliser le réseau BitTorrent. Actuellement, les trackers/serveurs qui fournissent les sources sont représentés par quelques machines situées un peu partout dans le monde, ce sont ces machines qui sont ciblées par la MPAA. Exeem aura pour but de transformer chaque client en un tracker/serveur potentiel, comme c'est déjà le cas sur d'autres réseaux tels que Overnet, Kademlia, Gnutella ...
Depuis septembre 2003, l'organisation américaine du disque a porté plainte contre 7704 personnes accusées de téléchargements illégaux de musique en ligne.
Mercredi, le tribunal correctionnel de Pontoise a requis une amende à l'encontre d'un enseignant accusé d'avoir illégalement téléchargé 30 Go de musique.
Hollywood a décidé de frapper un grand coup pour contrer le piratage via les réseaux Peer To Peer. Ainsi, la MPAA qui représente la plupart des grands studios du cinéma américain, a déposé aujourd'hui des plaintes contre plusieurs opérateurs de serveurs BitTorrent, eDonkey et Direct Connect.
En France, les abonnements de plusieurs internautes accusés de téléchargements illégaux de musique en ligne auraient été suspendus en novembre 2004.
La Société des auteurs compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) et le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP) ont de nouveau rejeté aujourd'hui, l'idée de mettre en place une "licence légale" pour légaliser les téléchargements et les échanges de fichiers de musique protégés sur Internet.
La MPAA (Motion Picture Association Of America), qui représente et défend les intérêts des grands studios de productions cinématographiques hollywoodiens, a décidé il y a quelques temps de se lancer une chasse aux sorcières contre les pirates (voir cette brève). Ainsi, la MPAA a déjà engagé un nombre non-communiqué de plaintes contre plusieurs utilisateurs de logiciels de fichiers d'échange de fichiers de type Peer To Peer, qui téléchargeaient des films protégés par des droits d'auteur. La MPAA a annoncé que ces plaintes demandent l'application d'une amende allant de 30 000 à 150 000$.
Le Syndicat national de l'édition phonographique estime efficaces les actions judiciaires menées en Europe pour limiter la piraterie musicale sur Internet.
Le PS demande au gouvernement français "un moratoire" sur les poursuites judiciaires engagées contre des internautes accusés de piraterie musicale en ligne.
Face à l'offensive des industriels du disque, la ligue des associations du haut débit déclare être opposée "à tout filtrage des réseaux d'échange poste à poste"
Président de la Ligue des Associations Haut-débit, Pascal COHET présente son association et ses souhaits sur l'épineuse question de la musique en ligne
Mercredi, industriels et FAI français se sont engagés, à travers une charte, à lutter contre la piraterie et à promouvoir les offres légales de musique en ligne
iMesh est l'un des nombreux logiciels de Peer To Peer, utilisés par des internautes pour télécharger de la musique et des vidéos qui sont souvent protégées par des droits d'auteur. En septembre dernier, la RIAA (Recording Industry Association of America) qui représente et défend les droits des maisons de disques américaines a déposé une plainte contre ce logiciel.
La MPAA (Motion Picture Association of America) en plus de sa dernière étude (voir cette brève) a annoncé que le piratage d'oeuvres cinématographiques avait atteint un niveau inquiétant en Europe. Selon la MPAA, le piratage de films sur Internet via les réseaux Peer To Peer serait passé devant celui de la musique (l'organisation américaine ne donne malheureusement pas plus de précisions) . La MPAA précise que six des huit plus gros pays liés au piratage de films se trouvent en Europe et que dans le classement mondial des mauvais éleves l'Allemagne se trouve en deuxième position, juste derrière les Etats-Unis.
La MPAA (Motion Picture Association of America) a décidé d'étudier de près les internautes abonnés au haut débit. Pour cela, elle a déjà mené une étude auprès de 3600 internautes qui résident dans huit pays différents (Australie, France, Allemagne, Italie, Corée, Japon, et Etats-Unis).
Le ministre français de la culture a déclaré au Figaro souhaiter la création d'une journée européenne du téléchargement légal de musique et films sur Internet.
Sans surprise, la Ligue critique l'offensive judiciaire envisagée en France contre les internautes suspectés de téléchargement "illégal" de musique en ligne.
La société civile des producteurs phonographiques (SCPP) a déposé hier une vingtaine de plaintes contre X contre les internautes français qui utilisent les systèmes Peer To Peer (P2P) pour télécharger de façon illégale de la musique sur Internet. Ces plaintes concernent Paris et la province.
Les premières poursuites en France d'internautes suspectés de téléchargement "illégal" de musique en ligne pourraient débuter dans les jours qui viennent.
Comme vous le savez, le téléchargement via les réseaux Peer To Peer pose de nombreux problèmes aussi bien financiers que légaux. Pour les résoudre, l'Adami qui gère les droits des artistes interprètes avait soumis l'idée de créer une "licence légale". Il s'agit d'ajouter directement sur la facture des abonnés haut débit le prix d'une licence afin de rémunerer les artistes.
Après l'industrie du disque, les grands studios américains de cinéma, représentés par la MPAA, passent à l'offensive contre le piratage en ligne.
Mardi, lors d'un entretien avec le SNEP, le ministre délégué à l'industrie a présenté un plan de lutte contre le téléchargement illégal de musique en ligne.
L'organisation américaine du disque a signalé lundi avoir déposé de nouvelles plaintes contre 493 internautes accusés de diffusion illégale de musique en ligne.
Notre confrère Ratiatum nous rapporte, qu'un tribunal néerlandais aurait rejeté la plainte déposée par la Stichting Brein (organisation qui représente les intérêts de certaines maisons de disques aux Pays-Bas) à propos d'une affaire concernant le téléchargement de morceaux de musique MP3 sur Internet.
Selon une estimation du Centre national de la cinématographie, les français téléchargent près d'un millions de films pirates chaque jour
L'Association canadienne de l'enregistrement a mis en ligne un nouveau sondage qui témoigne du soutien du public en faveur du respect des droits d'auteur.
Un retraité breton, ainsi que cinq autres personnes ont été condamnées par la justice française pour avoir téléchargé sur Internet des films pirates au format DivX via les réseaux d'échange de fichiers Peer To Peer.
Suite à l'adoption par le Sénat de la loi pour la confiance en l'économie numérique, le SNEP (Syndicat national de l'édition phonographique) a confirmé qu'il allait préparer ses premières actions en justice contre les pirates français qui utilisent les systèmes Peer To Peer (système utilisés par les logiciels de téléchargements et d'échanges de fichiers comme KaZaA, eMule, eDonkey ou Bittorrent) et ce malgré les changements apportés à loi par le Sénat.
Il y a quelques mois aux Etats-Unis, la RIAA avait réussi à obtenir, grâce à la justice, les coordonnées d'utilisateurs de logiciels Peer To Peer comme KaZaA qui partageaient des morceaux de musique sous copyright.