Nvidia a publié vendredi ses résultats financiers pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2013, clos le 29 avril dernier. Ses opérations enregistrent un léger recul sur un an, avec un chiffre d'affaires estimé à 924 millions de dollars sur la période.
Nvidia a fait état vendredi d'un chiffre d'affaires de 924,4 millions de dollars pour le premier trimestre de son exercice fiscal 2013, qui s'est conclu le 29 avril dernier. Il ressortait à 962 millions de dollars un an plus tôt, et 953,2 millions de dollars sur le trimestre précédent. Associées à une marge brute de 50,1%, ces recettes permettent à la société d'afficher un bénéfice net de 60,1 millions de dollars, en baisse séquentielle de 47,9%, ramené à 0,1 dollar par action.
Le marché des GPU reste logiquement le principal moteur de la firme au caméléon, avec un chiffre d'affaires global de 579,7 millions de dollars, dont 212,6 millions proviennent des solutions destinées à l'univers professionnel (serveurs, stations de travail et cartes graphiques Quadro). Au global, l'activité GPU enregistre toutefois un recul de 6,7% par rapport au trimestre précédent.
La croissance est en revanche au rendez-vous dans la branche Consumer Products, qui réunit notamment tous les produits Nvidia - hors GPU dédiés - dédiés à l'univers de la mobilité, des transmetteurs sans fil à la fameuse famille de puces tout-en-un Tegra. Celle-ci enregistre un chiffre d'affaires de 132,6 millions de dollars, en hausse de 20,8% par rapport au quatrième trimestre 2012.
Nvidia, qui dit pouvoir compter sur environ 3,13 milliards de dollars de liquidités, s'attend à réaliser pour le trimestre en cours un chiffre d'affaires de l'ordre de 990 à 1 050 millions de dollars.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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