Salesforce investit dans Seesmic, qui lève 4 millions de dollars

01 février 2011 à 15h05
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Seesmic, la start-up créée par Loic Le Meur, profitera de 4 millions de dollars supplémentaires pour assurer son développement. Elle vient en effet d'avoir conclu un nouveau tour de table auprès de Softbank et de Salesforce, qui se félicite que les clients Seesmic soient d'ores et déjà capables de prendre en charge Chatter, la nouvelle plateforme qu'il vient tout juste de lancer.

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Salesforce et le fonds d'investissement Softbank vont donc injecter 4 millions de dollars dans les caisses de Seesmic. Ce nouveau tour de table porte à 16 millions de dollars le total des investissements extérieurs récoltés par la start-up.

Initialement pensé comme un service permettant de partager des vidéos courtes à partir desquelles engager la conversation (une sorte de Twitter de la vidéo), Seesmic s'est rapidement réorienté vers la création d'outils dédiés à Twitter, Facebook et consorts. Après le rachat du client Twhirl, puis celui du service ping.fm, qui permet de poster simultanément sur plusieurs réseaux, la société prodigue aujourd'hui des clients multi-plateformes - mobile, PC ou Web - devant permettre à tout un chacun, particulier comme entreprise, de facilement interagir avec les services qui ont le vent en poupe ou utiliser ces derniers pour surveiller l'évolution de leur image.

Accueillant Salesforce à son capital, Seesmic s'ouvre largement aux outils et plateformes proposés par ce spécialiste des solutions CRM (gestion de la relation client) en mode hébergé. La version desktop du client Seesmic devrait ainsi très rapidement permettre aux clients Salesforce de surveiller ce qui se dit d'eux sur les réseaux sociaux.

Alexandre Laurent

Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...

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Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet. Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.

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