Sony vient d'annoncer la commercialisation en France de la Music Cam, une caméra miniature destinée aux mélomanes.
Sony a présenté la Music Cam à l'IFA 2013, en septembre dernier, mais peu de détails étaient jusqu'à présent connus. Il a annoncé aujourd'hui sa mise en vente, l'occasion de redécouvrir ses caractéristiques.
Cette caméra répondant à la référence HDR-MV1 est une variante de la HDR-AS30V. Elle repose sur le même capteur CMOS rétro-exposé au format 1/2,3 pouce de 16 millions de pixels que la caméra sportive, mais elle offre plusieurs spécificités répondant à une utilisation musicale, pour la captation de concert ou l'enregistrement de maquettes.
Ce capteur filmant en Full HD 1080p30 est pour commencer surmonté d'un objectif moins grand angle, à 120° et non à 170° (équivalent 18,2 plutôt que 15,3 mm).
Micro XY, VU-mètre, son PCM et sortie casque !
Elle dispose surtout d'une paire de microphones XY, permettant de capter en stéréo sans décalage de phase. Et le son peut être enregistré en PCM 48 kHz sur 16 bits non compressé (équivalent WAV), plutôt qu'en AAC. Une entrée pour microphone externe est également proposée ainsi que, ce qui est bien plus rare, une sortie casque permettant de contrôler l'enregistrement.
La Music Cam se distingue enfin de l'Action Cam par son écran LCD de 2,7 pouces restituant une définition QVGA (320 x 240 pixels soit 230 400 points). Celui-ci permet de cadrer mais aussi de contrôler le niveau sonore à l'aide d'un VU-mètre.
On retrouve par ailleurs les mêmes fonctionnalités de télécommande et de transfert sur smartphone via NFC et Wi-Fi.
La caméra Sony Music Cam HDR-MV1 sera commercialisée en France au mois de décembre au prix public de 300 euros. Elle offrira une alternative aux vieillissantes Zoom Q2HD et Q3HD, dont la qualité vidéo laissait à désirer.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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