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Ziv Schneider, une artiste adepte des nouvelles technologies, a créé un musée unique : ce dernier ne rassemble que des œuvres disparues ou volées. De fait, il est totalement virtuel, et se consulte à l'aide d'un casque Oculus Rift.
Le Musée de l'art volé est unique en son genre : on peut y découvrir des œuvres pillées ou volées, qui sont par conséquent impossibles à admirer dans la réalité. Totalement virtuel, ce musée se consulte à l'aide d'un casque Oculus Rift. Une manette est utilisée pour se déplacer dans les trois galeries proposées dans l'immédiat : « L'art pillé en Afghanistan », « L'art pillé en Irak » et « Les célèbres tableaux volés ».
Pour constituer ces expositions virtuelles, l'artiste Ziv Schneider s'appuie sur les bases de données du FBI et d'Interpol, qui répertorient les tableaux, photos et autres sculptures disparues et volées. « J'ai décidé de jouer avec l'idée de créer un espace virtuel pour les objets dont l'existence-même est virtuelle » explique Ziv Schneider. Le travail n'a pas été des plus simples, puisqu'il s'avère difficile de trouver des visuels en bonne qualité de certaines œuvres disparues. Pourtant, l'essentiel de la visite est basée sur des photos en haute définition.
Présenté à l'occasion d'un événement artistique fin 2014 à New York, le Musée de l'art volé a attiré de très nombreux curieux. L'utilisation de la réalité virtuelle s'avère utile dans une telle démarche, puisqu'elle apporte une dimension visuelle à des listes abstraites tenues par les autorités.
Sur le site du projet, on apprend que ce dernier devrait être « officiellement publié » prochainement. Les possesseurs d'un casque compatible pourront ainsi l'explorer depuis leur fauteuil.
Le Musée de l'art volé est unique en son genre : on peut y découvrir des œuvres pillées ou volées, qui sont par conséquent impossibles à admirer dans la réalité. Totalement virtuel, ce musée se consulte à l'aide d'un casque Oculus Rift. Une manette est utilisée pour se déplacer dans les trois galeries proposées dans l'immédiat : « L'art pillé en Afghanistan », « L'art pillé en Irak » et « Les célèbres tableaux volés ».
Pour constituer ces expositions virtuelles, l'artiste Ziv Schneider s'appuie sur les bases de données du FBI et d'Interpol, qui répertorient les tableaux, photos et autres sculptures disparues et volées. « J'ai décidé de jouer avec l'idée de créer un espace virtuel pour les objets dont l'existence-même est virtuelle » explique Ziv Schneider. Le travail n'a pas été des plus simples, puisqu'il s'avère difficile de trouver des visuels en bonne qualité de certaines œuvres disparues. Pourtant, l'essentiel de la visite est basée sur des photos en haute définition.
Présenté à l'occasion d'un événement artistique fin 2014 à New York, le Musée de l'art volé a attiré de très nombreux curieux. L'utilisation de la réalité virtuelle s'avère utile dans une telle démarche, puisqu'elle apporte une dimension visuelle à des listes abstraites tenues par les autorités.
Sur le site du projet, on apprend que ce dernier devrait être « officiellement publié » prochainement. Les possesseurs d'un casque compatible pourront ainsi l'explorer depuis leur fauteuil.
Journaliste mais geekette avant tout, je m'intéresse aussi bien à la dernière tablette innovante qu'aux réseaux sociaux, aux offres mobiles, aux périphériques gamers ou encore aux livres électroniques, sans oublier les gadgets et autres actualités insolites liées à l'univers du hi-tech. Et comme il n'y a pas que les z'Internets dans la vie, j'aime aussi les jeux vidéo, les comics, la littérature SF, les séries télé et les chats. Et les poneys, évidemment.
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