Les émojis poursuivent leur invasion : avec Stickered, Facebook propose à ses membres de combiner photos et autocollants.
Énième application dédiée pour Facebook, qui lance Stickered for Messenger, disponible depuis la semaine dernière sur Android et depuis hier sur iOS. Comme si les filtres d'Instagram ou de l'application mère ne suffisaient pas, Facebook propose à ses membres de personnaliser leurs photos à l'aide... d'autocollants !
Facebook est parvenu à s'approprier en Occident le concept des stickers, popularisé en Asie par l'application de messagerie instantanée Line. Initialement réservés aux conversations privées, ces visuels expressifs se sont ouverts aux commentaires cet automne, et ils colonisent maintenant les photos.
« Les photos et les autocollants sont deux des méthodes les plus populaires par lesquelles les utilisateurs s'expriment sur Messenger, » a indiqué au site Internet TechCrunch un porte parole de Facebook. Le réseau social lance donc une expérimentation visant à jauger comment les gens combinent les deux.
Stickered permet de coller un ou plusieurs des autocollants du vaste catalogue sur une photo, avant et/ou après le déclenchement. Il s'agit de créer de magnifiques œuvres en remplaçant les visages par des émojis et en incrustant des éléments dans le paysage. On choisit un autocollant puis on le positionne, le dimensionne et l'oriente à sa guise dans le cadre.
La vocation première de l'application est de partager le résultat en privé via Messenger, mais on peut aussi le partager en public, sur Facebook ou ailleurs, en faisant un détour par la pellicule de l'appareil mobile.
Stickered for Messenger est disponible dès à présent (y compris depuis la France, peu d'applications dédiées Facebook peuvent s'en prévaloir dès leur lancement) sur l'App Store d'Apple et sur le Play Store de Google.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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