Le film, intitulé Prey, devrait se dérouler 300 ans avant les évènements du précédent film et raconter le combat entre un Predator et une guerrière comanche.
Si le précédent opus de la saga Predator, sorti en 2018, n'a pas rencontré un grand succès, le personnage conserve son aura auprès des fans de science-fiction.
Un préquel se déroulant dans l'Amérique du 18e siècle
Bonne nouvelle pour eux puisque les studios Disney, nouveaux détenteurs des droits de la franchise depuis le rachat de la 20th Century Fox, ont annoncé à l'occasion du Disney+ Day, la mise en chantier d'un nouveau film baptisé Prey.
Plutôt qu'un énième reboot, Prey sera un prequel et se déroulera il y a 300 ans. Il racontera le combat de Naru, une guerrière comanche interprétée par Amber Midthunder (que l'on a pu voir dans la série Legion) qui défendra sa tribu face à la menace du premier Predator venu de l'espace sur notre bonne vieille Terre.
Le film est réalisé par Dan Trachtenberg, déjà à l'œuvre sur 10, Cloverfield Lane et devrait être disponible chez nous durant l'été 2022 dans la section Star de Disney+.
- Les classiques Disney au même endroit
- Des séries exclusives Marvel, Pixar et Star Wars
- Un prix raisonnable (sauf en 4K)
Il était très attendu et ne déçoit pas. Disney+ n'est pas un rival de Netflix, mais une offre complémentaire, tournée particulièrement vers les enfants (petits et grands) et plus largement vers la famille. L'univers Star, quant à lui, commence à porter ses fruits en proposant de plus en plus de séries originales ou exclusives. Dommage en revanche que le service ne cesse de perdre des fonctionnalités et de gagner des contraintes.
Il était très attendu et ne déçoit pas. Disney+ n'est pas un rival de Netflix, mais une offre complémentaire, tournée particulièrement vers les enfants (petits et grands) et plus largement vers la famille. L'univers Star, quant à lui, commence à porter ses fruits en proposant de plus en plus de séries originales ou exclusives. Dommage en revanche que le service ne cesse de perdre des fonctionnalités et de gagner des contraintes.
Source : Variety