L'application Google Maps pour Android fait un pas de plus vers l'autosuffisance avec la publication hier d'une mise à jour mettant l'accent sur les transports en commun.
La nouvelle version 6.10 de l'application Android accueille effectivement les plans des lignes de train, métro, tramway et bus de nombreuses villes supplémentaires, avec les horaires pour certaines d'entre elles. Près de 500 villes et plus d'un million de stations sont désormais couverts, selon Google.
En France, Bordeaux, Cholet, Dax, Lille, Lyon, Marseille, Maubeuge, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse sont désormais couvertes, avec les horaires pour Bordeaux, Cholet, Dax et Maubeuge. Des grandes villes, Montpellier, Nantes et Nice manquent à l'appel. La liste complète est consultable à cette adresse.
L'affichage de ces lignes et stations a pour l'occasion été amélioré. Ainsi, on peut dorénavant afficher ou masquer les moyens de transport de son choix pour gagner en clarté. En outre, la sélection d'une station affiche une nouvelle page présentant les lignes la desservant, les horaires de passage et les stations environnantes.
L'essentiel des fonctions reste en revanche inopérant en l'absence d'accès à Internet, même lorsqu'on a téléchargé les pans de cartes sur son terminal.
Avec le guidage automobile et piéton, y compris en intérieur, aucun autre intermédiaire que Google ne sera bientôt plus nécessaire pour guider un mobinaute jusqu'à n'importe quel coin et même recoin du globe. Google vous suivra donc potentiellement à la trace, pour cibler et donc vendre toujours mieux ses publicités.
Améliorations diverses
Dans d'autres domaines que les transports en commun, Google Maps 6.10 pour Android apporte également quelques nouveautés. Par exemple lors de la recherche d'une ville ou d'un code postal, son pourtour est désormais affiché. Et si l'historique des lieux est activé, le tableau de bord référence automatiquement les lieux visités régulièrement, pour faciliter leur recherche.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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