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L'Association française des éditeurs de logiciels préconise la création d'un pôle qui réunisse tous les éditeurs quel que soit leur modèle économique.
La création probable d'un nouveau pôle de compétitivité dédié aux logiciels libres et open source, ne fait pas l'unanimité chez les éditeurs français.
Pour sa part, l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel) estime que la recommandation lancée par Bercy est en contradiction avec les conclusions du rapport Lévy-Jouyet sur l'économie de l'immatériel, remis lundi au ministre.
En outre, plutôt que de réserver un pôle au libre et à l'open source, l'Afdel préconise la création d'un pôle "qui réunisse tous les éditeurs de logiciels quel que soit leur modèle économique : propriétaire, open source ou autre ."
"La plupart des entreprises éditrices de logiciels ont aujourd'hui adopté des modèles 'mixtes' mêlant les approches open source et propriétaires, que ce soit dans la conception ou dans la commercialisation de leurs solutions", souligne l'Afdel dans un communiqué daté du 7 décembre 2006.
La jeune association insiste : "Une telle distinction risque donc d'entretenir une opposition dont certains ont voulu faire un argument marketing mais qui demeure stérile, obsolète et déconnectée de toute réalité économique. Il serait donc préjudiciable que la France s'engage dans une voie qui ne trouve aucun équivalent à l'étranger".
Promouvoir l'innovation et la conception de logiciels en France, leur développement et leur utilisation sur le territoire comme à l'international, n'est-ce pas la priorité ?
Regroupement d'éditeurs de logiciels actifs au niveau national, dont Cegid, Dassault Systèmes, Exalead et la filiale française de Microsoft, l'Afdel pensait qu'un tel projet pouvait s'inscrire dans le cadre du pôle déjà existant 'System@tics' de Saclay, Essonne.
Thierry Breton va-t-il prendre en compte les remarques de l'Afdel ?
La création probable d'un nouveau pôle de compétitivité dédié aux logiciels libres et open source, ne fait pas l'unanimité chez les éditeurs français.
Pour sa part, l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel) estime que la recommandation lancée par Bercy est en contradiction avec les conclusions du rapport Lévy-Jouyet sur l'économie de l'immatériel, remis lundi au ministre.
En outre, plutôt que de réserver un pôle au libre et à l'open source, l'Afdel préconise la création d'un pôle "qui réunisse tous les éditeurs de logiciels quel que soit leur modèle économique : propriétaire, open source ou autre ."
"La plupart des entreprises éditrices de logiciels ont aujourd'hui adopté des modèles 'mixtes' mêlant les approches open source et propriétaires, que ce soit dans la conception ou dans la commercialisation de leurs solutions", souligne l'Afdel dans un communiqué daté du 7 décembre 2006.
La jeune association insiste : "Une telle distinction risque donc d'entretenir une opposition dont certains ont voulu faire un argument marketing mais qui demeure stérile, obsolète et déconnectée de toute réalité économique. Il serait donc préjudiciable que la France s'engage dans une voie qui ne trouve aucun équivalent à l'étranger".
Promouvoir l'innovation et la conception de logiciels en France, leur développement et leur utilisation sur le territoire comme à l'international, n'est-ce pas la priorité ?
Regroupement d'éditeurs de logiciels actifs au niveau national, dont Cegid, Dassault Systèmes, Exalead et la filiale française de Microsoft, l'Afdel pensait qu'un tel projet pouvait s'inscrire dans le cadre du pôle déjà existant 'System@tics' de Saclay, Essonne.
Thierry Breton va-t-il prendre en compte les remarques de l'Afdel ?
