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Le consortium dirigé par l'Imprimerie Nationale aurait fabriqué plus d'un million de passeports électroniques depuis avril 2006. Cocorico ? Depuis le 3 avril 2006, un million de passeports électroniques français ont été produits, a indiqué le spécialiste européen de l'électronique de défense, Thales, lundi.
Document d'identité sécurisé, le e-passeport intègre la photo numérisée de son détenteur et un composant électronique, une puce sans contact, contenant des données personnelles. Suite aux attentats du 11 septembre 2001 Outre-Atlantique, les Etats-Unis ont imposé à 28 pays dont la France, de fournir progressivement à leurs ressortissants ces passeports.
En France, la fabrication centralisée de passeports électroniques a été retardée du fait d'un contentieux entre le ministère de l'intérieur - celui-ci avait initialement sélectionné Card Systems sur appel d'offres - et l'Imprimerie Nationale.
Finalement, un consortium dirigé par l'Imprimerie Nationale, associant Sagem (cartes à puce), Keynectics (plate-forme de certification), ex-Axalto (système d'exploitation avec algorithmes de chiffrement), Thales (système de personnalisation des passeports), a été chargé de mettre en oeuvre l'ensemble du projet e-passeport français.
La disponibilité et la réactivité des membres du consortium sur ce projet d'envergure nationale "ont pleinement contribué à la gestion des pics de production des premiers mois", affirme, aujourd'hui, Loïc de la Cochetière, président de l'Imprimerie Nationale.
En moyenne, 10.000 passeports électroniques français sont fabriqués chaque jour. Avant la période estivale, jusqu'à 20.000 unités par jour auraient été produites, principalement du fait des demandes émanant des Français souhaitant séjourner aux Etats-Unis. A ce jour, pour se rendre moins de trois mois aux Etats-Unis "sans visa", les Français concernés doivent être équipés de ces nouveaux passeports électroniques ou de passeports 'à lecture optique' délivrés avant le 26 octobre 2005.
Document d'identité sécurisé, le e-passeport intègre la photo numérisée de son détenteur et un composant électronique, une puce sans contact, contenant des données personnelles. Suite aux attentats du 11 septembre 2001 Outre-Atlantique, les Etats-Unis ont imposé à 28 pays dont la France, de fournir progressivement à leurs ressortissants ces passeports.
En France, la fabrication centralisée de passeports électroniques a été retardée du fait d'un contentieux entre le ministère de l'intérieur - celui-ci avait initialement sélectionné Card Systems sur appel d'offres - et l'Imprimerie Nationale.
Finalement, un consortium dirigé par l'Imprimerie Nationale, associant Sagem (cartes à puce), Keynectics (plate-forme de certification), ex-Axalto (système d'exploitation avec algorithmes de chiffrement), Thales (système de personnalisation des passeports), a été chargé de mettre en oeuvre l'ensemble du projet e-passeport français.
La disponibilité et la réactivité des membres du consortium sur ce projet d'envergure nationale "ont pleinement contribué à la gestion des pics de production des premiers mois", affirme, aujourd'hui, Loïc de la Cochetière, président de l'Imprimerie Nationale.
En moyenne, 10.000 passeports électroniques français sont fabriqués chaque jour. Avant la période estivale, jusqu'à 20.000 unités par jour auraient été produites, principalement du fait des demandes émanant des Français souhaitant séjourner aux Etats-Unis. A ce jour, pour se rendre moins de trois mois aux Etats-Unis "sans visa", les Français concernés doivent être équipés de ces nouveaux passeports électroniques ou de passeports 'à lecture optique' délivrés avant le 26 octobre 2005.
