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La « recherche humaine » fera-t-elle long feu ? Avec l'ambition de suppléer les carences des moteurs de recherche, plusieurs services de mise en relation des internautes ont vu le jour sur Internet ces dernières années. Misant sur la création d'une communauté d'utilisateurs actifs, ces services permettent à tout un chacun de mettre ses questions - aussi incongrues soient-elles - en ligne, en espérant qu'un internaute de passage connaitra la réponse et prendra le temps de répondre. Alors que ! annonce cette semaine le succès de son service « Yahoo Question/Réponse » avec plus d'un million de visiteurs unique, Google évoque discrètement la fermeture de « Google Answers »
Lancé depuis plus de quatre ans, Google Answers n'aurait jamais vraiment décollé. La société de Mountain View explique simplement qu'elle préfère ne plus autoriser le dépôt de nouvelles questions, pour se concentrer sur la définition de nouveaux objectifs. La base de connaissances constituée depuis l'ouverture du projet restera accessible en ligne, mais il ne sera plus possible de répondre aux questions d'ici la fin de l'année. Contrairement à Yahoo!, qui mise sur un service entièrement gratuit, Google proposait aux internautes de définir le prix qu'ils étaient prêts à payer pour obtenir la réponse à leurs questions. Comme le souligne le moteur de recherche sur son blog officiel, doog-ga était prêt en 2002 à verser 10 dollars à la personne qui lui démontrerait quelle quantité d'essence est nécessaire pour recomposer un tyrannosaure !
Basé sur un modèle différent, dans lequel des bons points viennent récompenser les internautes les plus méritants, le service de questions réponses de Yahoo! aurait déjà enregistré plus d'un million de visiteurs uniques en France selon Nielsen Netratings. Inventé par les équipes de Yahoo Taïwan, ce concept de base de connaissances collaborative a été développé aux Etats-Unis avant d'être importé en France au mois de juin dernier. Contrairement à Google Answers, le service de Yahoo! a bénéficié d'une campagne de publicité en ligne et hors ligne en France.
Lancé depuis plus de quatre ans, Google Answers n'aurait jamais vraiment décollé. La société de Mountain View explique simplement qu'elle préfère ne plus autoriser le dépôt de nouvelles questions, pour se concentrer sur la définition de nouveaux objectifs. La base de connaissances constituée depuis l'ouverture du projet restera accessible en ligne, mais il ne sera plus possible de répondre aux questions d'ici la fin de l'année. Contrairement à Yahoo!, qui mise sur un service entièrement gratuit, Google proposait aux internautes de définir le prix qu'ils étaient prêts à payer pour obtenir la réponse à leurs questions. Comme le souligne le moteur de recherche sur son blog officiel, doog-ga était prêt en 2002 à verser 10 dollars à la personne qui lui démontrerait quelle quantité d'essence est nécessaire pour recomposer un tyrannosaure !
Basé sur un modèle différent, dans lequel des bons points viennent récompenser les internautes les plus méritants, le service de questions réponses de Yahoo! aurait déjà enregistré plus d'un million de visiteurs uniques en France selon Nielsen Netratings. Inventé par les équipes de Yahoo Taïwan, ce concept de base de connaissances collaborative a été développé aux Etats-Unis avant d'être importé en France au mois de juin dernier. Contrairement à Google Answers, le service de Yahoo! a bénéficié d'une campagne de publicité en ligne et hors ligne en France.
