0
De nombreuses difficultés sont rencontrées par les 3 opérateurs français en ce qui concerne l'installation d'antennes UMTS dans la capitale qui se veut pourtant être l'exemple à suivre pour le déploiement de la technologie de 3G en France.
Ainsi, outre les seuils de tolérance décidés le 20 Mars 2003 de 2 volts par mètre (V/m) en moyenne sur 24 heures, les associations de défense de l'environnement font pression sur les mairies d'arrondissement pour accentuer la vigilance dans le déploiement de nouvelles antennes UMTS.
Le problème principal de l'UMTS concerne le nombre d'antennes supérieures aux antennes GSM devant être mis en place pour avoir un réseau de bonne qualité dans la capitale.
Selon Yves Cochet, reprit par 01net, député de Paris et auteur d'un projet de loi sur les antennes-relais, au moins quatre mairies d'arrondissement sont réticentes à la mise en service de l'UMTS : celles du XII e , du XIVe, du XVIII e et du XX e , qui emploient des mots comme « opposition » ou « moratoire ».
Il semble en tout cas que malgrés un enjeu majeur d'amortissement des réseaux UMTS pour les 3 opérateurs français qui ont déboursé 619 millions d'euros pour acquérir une licence UMTS, le lancement à grande échelle de cette technologie ne va pas faire que des heureux...
Ainsi, outre les seuils de tolérance décidés le 20 Mars 2003 de 2 volts par mètre (V/m) en moyenne sur 24 heures, les associations de défense de l'environnement font pression sur les mairies d'arrondissement pour accentuer la vigilance dans le déploiement de nouvelles antennes UMTS.
Le problème principal de l'UMTS concerne le nombre d'antennes supérieures aux antennes GSM devant être mis en place pour avoir un réseau de bonne qualité dans la capitale.
Selon Yves Cochet, reprit par 01net, député de Paris et auteur d'un projet de loi sur les antennes-relais, au moins quatre mairies d'arrondissement sont réticentes à la mise en service de l'UMTS : celles du XII e , du XIVe, du XVIII e et du XX e , qui emploient des mots comme « opposition » ou « moratoire ».
Il semble en tout cas que malgrés un enjeu majeur d'amortissement des réseaux UMTS pour les 3 opérateurs français qui ont déboursé 619 millions d'euros pour acquérir une licence UMTS, le lancement à grande échelle de cette technologie ne va pas faire que des heureux...
